1. Qui perd gagne !


    Datte: 07/12/2018, Catégories: ff, ffh, fbi, couplus, fête, voiture, jalousie, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, couple+f, Auteur: Isabelle Rousseau, Source: Revebebe

    ... une victime, jamais. Donc pour ne pas subir, il faut agir en premier. J’attaque et j’utiliserai l’artillerie lourde s’il le faut.
    
    Je m’approche du couple que forment mon mari et la créature, d’un air faussement nonchalant et lance :
    
    — Alors mon chéri, je vois que tu es en agréable compagnie, tu pourrais nous présenter !
    — Isabelle, je te présente Stella, Stella voici Isabelle mon épouse.
    
    Je l’embrasse, coutume locale, et la déshabille du regard avec un sourire gourmand et plein de promesses.
    
    — Tu es un chef d’œuvre, comparée aux toiles du maître, nous donnerions cher pour te mettre dans notre salon ou notre chambre. Et pas sur les murs ! m’entends-je lui dire.
    — Je vous remercie et accepterai avec grand plaisir contre quelques douceurs seulement, répond-elle, en se léchant le pourtour des lèvres.
    
    Alors là je suis scotchée, prise à mon propre piège. Une femme qui aime aussi les femmes, c’était pas prévu, mais tant pis, j’irai jusqu’au bout. Quant à Xavier, il est en état de choc. D’un, il découvre un potentiel nouveau chez sa vertueuse épouse. Deuxièmement, elle marche sur ses plates-bandes et tertio, il entre dans un état d’excitation douloureusement pénible dans son jean. Mais je l’entends penser que la chance lui sourit puisqu’il a la bénédiction et même l’aide de cette naïve dont il aurait pu attendre une réaction de femme blessée. Dans sa tête, tout se mélange. « Était-ce bien l’épouse classique et sans grande imagination avec laquelle je vis tous les ...
    ... jours ? Ou bien joue-t-elle un rôle et vit quantité de fantasmes sans moi ? Bon, c’est certain, je ne pourrai jamais le lui reprocher. Il faut que j’arrête de réfléchir et me concentre sur le « présent » dans les deux sens du terme d’ailleurs. »
    
    — Tiens chéri, on trinque ! dis-je en lui tendant une nouvelle coupe.
    
    Mon plan dépend partiellement de la quantité de champagne absorbé par monsieur. Nous quittons la salle. Arrivés à la voiture, je feins d’être un peu trop ivre afin qu’il prenne le volant, et me glisse sur la banquette arrière à côté de Stella.
    
    Là je fais ce que je n’avais jamais imaginé, comme si je l’avais fait toute ma vie : je m’empresse de l’enlacer. J’enfonce ma langue très loin dans sa bouche. Je me montre pressée et gourmande, je sors ses seins, les pince, les triture, les gobe, tout en passant ma main sous sa robe. Elle me caresse aussi, mais je préfère me concentrer sur elle. Je sens son con déjà mouillé à travers son string, ce qui m’encourage à persévérer. Je la doigte méticuleusement, à l’écoute du moindre petit bruit ou mouvement qui m’informe sur la météo de son plaisir. Puis tout en aspirant son téton, je caresse énergiquement son clitoris bien lubrifié et à ma grande surprise, rapidement elle jouit.
    
    Je jubile mais ce genre de fille, ça doit avoir l’habitude de baiser toute la nuit. Il faut que je sois à la hauteur, et que je la crève. Je retire mon string, la fais s’allonger et passe au-dessus d’elle, plaçant ainsi ma fente au-dessus de sa ...