1. Fin de soirée


    Datte: 07/12/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Ali, Source: Revebebe

    ... brillante de ses sécrétions intimes. Bénédicte, les reins creusés, allant au-devant des coups de boutoir, les seins secoués au rythme des coups de reins de son amant, les mamelons érigés, durcis par le désir et le plaisir, dardés et offerts à la bouche et aux dents. Aurélien la voit nouer ses jambes autour de son cavalier pour que son sexe s’enfouisse encore plus loin en elle, plus profond dans son ventre, tout au fond de ses entrailles.
    
    Il la voit l’entourer de ses bras pour ne faire plus qu’un avec lui, accompagner chacun de ses mouvements, précipiter son ventre à sa rencontre pour le sentir la remplir toute, pour être encore davantage toute à lui, alors que la cadence et le rythme de leurs mouvements s’accélèrent encore et que la verge semble encore grossir, plus impressionnante, plus puissante à chaque coup de reins…
    
    Il entend aussi…
    
    Il entend le premier soupir de satisfaction de Bénédicte lentement pénétrée, puis le crescendo de ses râles, ses gémissements sous la fougue de son amant, ses cris inarticulés lorsque sa jouissance trop forte n’en a plus fait qu’un pantin désarticulé secoué de violents spasmes de plaisir, lorsque les ultimes sursauts du sexe de son amant la remplissent de semence. Il imagine l’éjaculation jaillir en elle comme la lave incandescente, la submerger au plus profond d’elle-même, l’inonder en ...
    ... puissantes giclées. Sous ses yeux, l’homme se vide à nouveau en elle, longuement, en râlant de plaisir.
    
    Et Aurélien, bouleversé par l’érotisme torride du spectacle qui se déroule « en live » devant lui, Aurélien, accroché à son fauteuil, le cœur en déroute, éjacule dans sa culotte comme un collégien.
    
    Et après, il lui faut encore voir…
    
    Il lui faut voir, plus qu’entendre, le merci que sa femme murmure, à son amant qui se retire d’elle, d’une voix éteinte, rauque d’avoir trop crié. Il lui faut voir sa femme chérie, transpirante et alanguie, le corps désarticulé sur le tapis du salon, éreintée par cette si intense chevauchée. Il lui faut voir sa brune toison ébouriffée, maculée. Il lui faut voir enfin, dans la fourche de ses jambes ouvertes, les blancs filaments de sperme qui ressortent peu à peu de son sexe inondé, en gluantes coulées, et qui s’écoulent lentement entre ses fesses jusque sur le tapis. Et son sourire de femelle repue, épuisée, mais comblée par un mâle vigoureux.
    
    Et quand, profondément troublé et perturbé par tout ce qu’il a vu ce soir, le cœur chaviré par des émotions contradictoires, il s’approche enfin d’elle, elle trouve cependant la force de lui adresser un sourire las et de lui souffler :
    
    — Je t’aime, Aurélien !… Merci pour cette soirée… Je suis comblée… Et… et toi ?
    
    La soirée terminée, la nuit commence… 
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