1. Fin de soirée


    Datte: 07/12/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Ali, Source: Revebebe

    ... caresse. Maintenant ses doigts passent et repassent avec légèreté du clitoris à la fente gourmande et réceptive. Il prend définitivement possession de ce corps, le fouille au plus profond et savoure la vision du balancement de ce bassin sous sa main. Bénédicte apprécie le mouvement régulier et appliqué qui, peu à peu, l’embrase toute.
    
    Son impatience est si grande que son corps tendu n’est plus qu’un cri muet, qu’un appel à l’amour. Enfin, la langue tant attendue se pose sur son sexe dégoulinant. Surprise, Bénédicte crie de bonheur. Elle sent avec délice qu’Eric commence à la lécher. Cette langue qui lape son sexe, qui s’insinue habilement dans sa chair consentante, qu’elle sent aller jusqu’aux tréfonds d’elle, la rend folle, la fait délirer, râler. Lui se délecte du nectar que son sexe secrète à profusion. Sa langue aventureuse et indécente visite chaque recoin de l’intimité chaude et humide de Bénédicte sans se presser.
    
    Sous cette langue persuasive, Bénédicte jouit une première fois, violemment.
    
    Mais elle veut davantage que la langue d’Eric, si agile soit-elle. C’est son sexe qu’il lui faut, qu’elle veut sentir s’enfoncer en elle. C’est par cette queue qu’elle veut se sentir défoncée, labourée. Affamée, folle d’impatience et de désir, elle le veut en elle de suite. Cette attente qu’il lui impose lui est insupportable.
    
    Encore tremblante du plaisir qu’elle vient d’avoir, elle l’attire sauvagement sur elle…
    
    Et le rêve d’Aurélien devient réalité.
    
    Aurélien ...
    ... voit…
    
    Il voit le gland turgescent et violacé écarter les lèvres gorgées de sang de la vulve de Bénédicte allongée, écartelée et ouverte. La lente pénétration de cette verge dilate peu à peu le vagin qui l’enserre entre ses parois chaudes, humides et à mesure distendues par cette intrusion. Puis, lorsqu’elle est parvenue au bout de sa course, tout entière enfouie et tout au fond du ventre de Bénédicte, elle reste là un moment, immobile, remplissant toute la cavité, laissant les souples parois s’habituer à sa présence, à son volume.
    
    Il voit cette queue, toujours complètement enfouie au tréfonds de sa femme, entreprendre un lent mouvement de rotation qui lui permet d’assouplir et d’étirer encore plus la cavité qui l’enserre. Bénédicte sent cette rotation démoniaque distendre encore les parois de sa grotte ruisselante. Puis il la voit qui se retire lentement, luisante de sucs, jusqu’à ce que la corolle des petites lèvres n’entoure plus que l’extrémité du gland, avant de revenir d’un mouvement toujours aussi lent et puissant, cogner à nouveau le fond du fourreau soyeux. Et le piston poursuit son mouvement inexorable, encore et encore, coulissant puissamment, en longs allers-retours dans ce sexe accueillant, offert à ses assauts. Et son rythme cadencé et inépuisable l’entraîne de plus en plus loin au fond des entrailles de Bénédicte.
    
    Il la voit, ouverte, abandonnée, écartelée, saisie aux hanches par les mains possessives d’Eric, se faire pilonner par cette queue infatigable, ...
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