1. COLLECTION TRIOLISME. Les deux copines (1/2)


    Datte: 06/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... bouche alors qu’elle me fait une gorge profonde.
    
    Je me recule un peu pour qu’elle avale, elle aime mon sperme cette salope, il faut que j’évite qu’elle-même arrose ma queue.
    
    Puis nous tombons dans les bras l’un de l’autre afin de récupérer.
    
    Chaque lundi, je la prends deux fois, même si Marie a envie de moi, j’arrive sans problème dans notre quarantaine à les satisfaire toutes les deux.
    
    - Coucou, tu es là Jennifer, j’ai rapporté ta robe, maman avait rendez-vous chez son gynéco et ne souhaitait pas que je l’accompagne.
    
    Panique dans la chambre, Marie est là, comment être discret alors que nos affaires sont éparpillées dans le vestibule.
    
    La catastrophe ne prend pas longtemps à nous arriver, Marie entre dans la chambre.
    
    Par chance, Jennifer est la première sur son chemin et les deux femmes en arrivent aux mains.
    
    Comment se mêler à deux chiennes en furie, qui se jettent l’une sur l’autre ?
    
    Les seins de Jennifer sautent de droite à gauche.
    
    Elles arrivent à s’attraper les cheveux, je voudrais bien intervenir, mais je ne suis pas fou, je tiens à mes yeux, maman ne m’en a donné que deux.
    
    Elles finissent par rouler au sol sur la carpette.
    
    Je vais depuis le lit où je suis assis, vous narrer ce qui se passe.
    
    Je vois déjà les commentaires surtout de certaines femmes me traitant de macho.
    
    C’est vrai, je le conçois, surtout que ces deux femmes à un certain degré différent, je les aime, j’ai bien pensé un moment à les réunir pour leur parler de mon ...
    ... amour, mais la peur d’en perdre une m’a retenu.
    
    Nous sommes à la croisée de notre vie, surtout quand je vois un bout de robe de Marie voler sur le lit.
    
    Elle semble avoir le dessous et arrive à s’échapper vers la salle.
    
    Au passage, le reste de la robe tombe au sol.
    
    Je me penche, elles roulent de nouveau au sol, les dents sont de sortie.
    
    Là ça va un peu loin, surtout qu’elles semblent un peu essoufflées.
    
    Je me lève et j’approche du lieu de la bagarre, en faisant attention, avec l’envie de me boucher les oreilles tellement le langage est châtié entre « grosse pute », « salope ».
    
    J’entends même « truie ».
    
    Ma main part au milieu de la mêlée, cheveux blonds dans la main, je tire.
    
    Jennifer est maîtrisée.
    
    Ma main replonge, tête brune, je tire, je les tiens fermement.
    
    Elles sont obligées de suivre, leur visage que je rapproche est à la hauteur du mien.
    
    - Les filles, vous arrêtez vos conneries, je vous aime autant l’une que l’autre, nous arrivons déjà à travailler en osmose, je suis disposé à vivre avec vous deux.
    
    - Tu peux toujours courir, moi vivante, je vous haïrais toujours.
    
    Je renforce ma tension sur les cheveux de Marie, qui vient de prononcer ces mots.
    
    Je sens les seins de Jennifer sur mon torse et le sein droit de Marie à travers son soutien-gorge seul sous-vêtement avec sa culotte qui lui reste sur le dos.
    
    - Marie, calme-toi, sinon je tire, quitte à t’arracher tes cheveux, embrasse ta copine.
    
    Elle rechigne à mon injonction, ...