COLLECTION TRIOLISME. Les deux copines (1/2)
Datte: 06/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... nous voyons tous les lundis après-midi, il faut dire que Jennifer a une boutique de vêtements féminins dans la même rue piétonne de notre ville.
Quant à nous, nous avons la boutique de chaussures mitoyenne de la sienne.
Nous sommes associés financièrement, si un commerce a des bas, l’autre le maintient ou vice et versa.
Les lundis, les boutiques sont fermées et Marie immanquablement part après notre nuit de récupération chez sa mère à 50 kilomètres de chez nous.
J’allais avec elle avant d’être l’amant de Jennifer.
Il a été facile de ne plus y aller, me dégageant du temps.
- Nicolas sort de chez-moi, inutile de revenir.
C’est ainsi que j’ai pu me libérer de ma belle-mère en lui disant qu’il faudrait qu’elle fasse attention à elle, qu’elle était si grosse qu’un jour elle allait exploser.
Pour faire bonne mesure, j’ai rajouté qu’elle avait doublé de volume depuis qu’après la mort de son mari, elle s’était mise avec un connard qui n’en voulait qu’à son fric.
Je savais qu’elle l’avait foutu dehors car il lui avait volé du fric et des bijoux.
Marie m’avait tout dit.
Marie m’a fait la gueule pendant plus d’une semaine, mais quand je lui ai donné les billets pour la Réunion, île où elle était née son père étant un gendarme, le père de Jennifer aussi.
C’est pendant ce voyage qu’a eu lieu, l’incident du petit requin.
Nous étions partis 15 jours, un seul point noir, Jennifer qui aurait voulu nous accompagner.
Il aurait été facile de ...
... l’emmener, mais nous avons fini par concevoir que les risques étaient trop grands que nous fassions une bêtise plus grande que celle de coucher ensemble tous les lundis après-midi.
Quand je l’ai retrouvée après notre séjour, tout a roulé comme nous l’espérions.
Je pouvais dire que j’avais deux femmes, sans que l’un des deux sache que je baisais la deuxième.
- Jennifer, je t’aime autant que Marie, donne-moi tes seins, je rêve d’eux depuis notre petite séance de pelotage dans notre cuisine.
- Moi aussi Nicolas, arrache-les-moi !
Nous sommes dans la chambre de Jennifer, rien de bien classique pour des amants, elle est en levrette, je les empoigne et je les tire à moi.
C’est la meilleure façon que j’ai de la faire partir, comme je lui ai dit le soir avec nos homos elle a des seins à faire damner des saints.
Rapidement ma queue est en elle et je peux la sexer avec de grands coups qui la font hurler littéralement de plaisir.
Je lui enfonce mon dard dans la chatte le plus longtemps possible, je sens son corps vibrer sans relâcher ses seins, je sais par expérience que lorsque je les relâcherai, ils seront rouges d’avoir été tirés tout ce temps.
Une nouvelle fois elle jouit.
Je relâche ses seins, je la retourne et montant jusqu’à son visage, je lui fourre ma bite engluée de sa cyprine dans la bouche.
- Suce salope, regarde comme ma bite sent bon, regarde comme ton corps dégage de bonnes effluves quand tu jouis.
Ce oui, c’est au moment où je lui remplis la ...