Laura et moi
Datte: 05/12/2018,
Catégories:
fh,
copains,
caférestau,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
Auteur: Bernardo Guardi, Source: Revebebe
... caresses. Mes doigts qui, jusqu’alors, caressaient son ventre, remontèrent peu à peu vers ces mamelons dardés vers moi. Au premier contact, je vis une chair de poule naître sur sa peau. Dans un soupir, Laura m’invita à les caresser de ma langue. Je ne me le fis pas redire une deuxième fois, et c’est avec une infinie précaution que je passai le bout de ma langue sur l’un puis l’autre de ces concentrés de plaisir. Le temps s’arrêta, et c’est au bout d’une seconde, d’une heure ou d’un siècle que ma belle me fit m’adosser au siège pour enlever mon t-shirt.
Je lui désignais le lit d’un regard, et elle me sourit, alors de tout son amour, et joignant ses doigts au miens, elle alla s’installer sur le lit. J’enlevais mes chaussures et pantalon, qui étaient plus que superflus, et je me mis à côté d’elle. Nous restâmes longuement à nous regarder, en caressant les épaules et le visage de chacun. Ce fut elle qui m’embrassa, tout en se collant à moi. Je sentais son corps chaud, ouvert à mille sensations et caresses, entre mes mains. La main qui n’était pas bloquée par mon poids caressa son dos, et descendit doucement vers la lisière de son bas de pyjama. Ses fesses étaient un rêve éveillé, fermes, rondes et douces, elles étaient un véritable enchantement. Je fis glisser son pantalon, révélant son bassin, qu’elle souleva pour permettre à ma main de continuer son œuvre. Lorsque le pyjama fut enlevé, je la découvris enfin nue, et elle était plus que désirable, allongée sur le côté, ses ...
... yeux noisette me fixant intensément. Je fis glisser ma main le long de sa cuisse, en la mettant sur le dos, et ma bouche repris le chemin de ses tétons, décidément ceux-ci sont un appel au lubrique !! Je léchais sans m’arrêter de remonter ma main vers ce triangle brun me cachant son intimité. C’est presque avec impatience qu’elle écarta ses cuisses, lorsque ma main atteignit la fourche de son entrecuisse. J’y passais délicatement un doigt, et lentement, je lui ouvris ses lèvres humides et gonflées de désir, mes doigts effleurant son clitoris tendu. Ma bouche se mit à descendre lentement vers son nombril, caressant de ma langue chaque centimètre carré de sa peau satinée. Je fus chatouillé par la touffe de poils de son mont de Vénus, et ma langue s’insinua immédiatement dans ce sexe trempé de désir. À genoux devant ce spectacle de Laura nue, les jambes indécemment écartées, mes doigts glissant sur ses cuisses tout cela me fit tendre un peu plus mon caleçon, déjà incroyablement déformé. Je replongeai ma langue dans ce fruit juteux, et ses premiers gémissements retentirent délicieusement à mes oreilles.
— Tu aimes, lui demandais-je ?
— Oh oui Stéphane, continue, ne t’arrêtes pas… me dit-elle dans un gémissement.
Ne pouvant faire grand-chose, Laura caressait mes cheveux, et appuyait de temps en temps pour me signifier où c’était meilleur. Les sons aigus, provenant de sa gorge, étaient une musique pour mon ouïe. Son bassin ondulait sous mes assauts, et bougeait de plus en plus ...