1. Laura et moi


    Datte: 05/12/2018, Catégories: fh, copains, caférestau, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, init, Auteur: Bernardo Guardi, Source: Revebebe

    ... m’endormis plein de ces affolantes images.
    
    Trois semaines passèrent où nous nous sommes revus, allant au restaurant, au cinéma, ou au café, pour toujours mieux se connaître et s’apprécier. Chaque rendez-vous était merveilleux, notre complicité grandissante faisait que je lui racontais mes déboires et elle de même. Puis vint le jour où Natacha dut rentrer en Hongrie, non pas que j’en étais heureux, mais je ne pensais plus qu’au jour ou Laura allait s’installer. La fête d’adieu fut très arrosée, et Natacha s’en alla, pleurant à chaudes larmes, et promettant de revenir.
    
    Le lendemain, Laura vint s’installer avec ses valises, bien entendu notre relation fut cachée à ma mère, car elle ne pensait pas correct d’avoir un couple sous son toit, et pour plusieurs autres raisons. Etant bien élevé, je laissai sa soirée à Laura pour qu’elle s’installe confortablement, et aussi pour ne pas passer pour un pot de colle !
    
    Ce fut le lendemain soir, où tout le monde dormait, qu’elle vint me retrouver dans ma chambre. Je travaillais à mon bureau, une planche de bois sur un tréteau. Elle vint s’asseoir à côté de moi, me regardant finir mon chapitre à apprendre, et en respectant le silence qui régnait dans la pièce. Travail terminé, j’attirai Laura sur mes genoux et l’embrassai passionnément. Aucunement surprise, celle-ci y répondit avec un plaisir tout partagé. Mes mains sur ses hanches, je les faisais remonter doucement, lentement le long de son dos, puis je les fis redescendre, mais ...
    ... cette fois-ci je me décidai à aller jusqu’au bout, ou du moins, jusqu’à ce qu’elle me dise peut-être « non ». J’approchais doucement mes mains de ses fesses et commençai à les lui caresser. Comme c’était le soir, elle portait un très joli pyjama couleur bleu nuit en soie. Je continuais donc ma découverte de son derrière, et lentement je fis passer une main sur ses cuisses. Nos langues jouaient ensemble, et je sentis un changement dans son souffle lorsque ma main s’approcha de son entrejambe, en effleurant à peine le côté si sensible des cuisses. Mais ce n’était pas pour tout de suite, je désirais faire cela de la manière la plus douce qui soit, et mes doigts passèrent très près de son mont de Vénus, mais ne s’arrêtèrent pas. Ma bouche dériva vers le creux de son cou et l’embrassa, puis y passa la langue. Je continuais en laissant glisser mes doigts vers son nombril, sur une peau de pèche si délicieuse, passant sous le haut de pyjama, j’approchais lentement, doucement mais sûrement, de ses petits seins. Cela devait l’exciter passablement puisque son souffle devint des soupirs, et je voyais, au travers de son pyjama, ses tétons qui tendaient le tissu. Celui-ci fut déboutonné un a un, en regardant ma dulcinée droit dans les yeux, et j’y lus son approbation. Lorsque je fis glisser cette veste de soie de ses épaules, je découvris ses tétons. Il est vrai qu’à travers la soie ils avaient l’air tendus, mais je découvris leur taille réelle. Ils étaient longs et épais, appelant les ...
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