1. Une histoire vécue.


    Datte: 12/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: OdetteMaso, Source: xHamster

    ... couilles. Je hurle sous mon bâillon, me tords dans tous les sens. Mais, comme je l’en ai priée, son fouet continue de claquer, de me zébrer le dos et les flancs. Au bout des douze coups, elle s’arrête enfin. Elle éteint les radios, se place devant moi et me gifle à toute volée, en aller-retour. Tirant sur mes pinces aux tétons, elle demande, ironique :
    
    - Alors, Solange, on ne supporte plus une petite correction ?
    
    - Mmm…
    
    - Comment ? Je ne comprends pas.
    
    - Mmm…
    
    - Ah, tu en veux encore un peu, c’est ça ?
    
    Je secoue la tête dans tous les sens.
    
    - Allez, je te laisse.
    
    Sans pitié cette fois, elle me laisse là. Je n’en peux plus, c’est au-delà du supportable, je suis au bord des larmes.
    
    Au bout de cinq minutes, une éternité, elle est de retour, me souffle la fumée de sa cigarette au visage. Puis souligne les traces de fouet d’un ongle acéré.
    
    - Alors petite femelle, tu as eu ce que tu voulais cette fois ?
    
    Je fais oui de la tête. Elle m’enlève le bâillon et me fait boire un grand verre d’urine chaude et très amère. Car elle a pris l’habitude de se retenir tout l’après-midi pour avoir un pipi bien acre.
    
    - S’il vous plait, Maîtresse, détachez-moi.
    
    Paf, une paire de gifles.
    
    - Et alors, un bon fouet, un délicieux pipi, et on ne remercie pas sa Maîtresse ? Je crois que ça mérite une punition, non ?
    
    - Par pitié, Maîtresse, je vous remercie du fond du cœur, mais je n’en peux plus.
    
    - Non non non non, ta punition d’abord.
    
    Dix violents coups ...
    ... de martinet sur la bite. J’ai l’impression que mes testicules vont s’arracher. Je vois 36 chandelles.
    
    - J’espère que ça t’apprendra la politesse à l’avenir, Solange.
    
    - Oui Maîtresse, merci Maîtresse.
    
    Elle me remet sa culotte en bouche, ouvre les pinces, la douleur est intense dans mes tétons. Enfin, elle me libère un poignet.
    
    - Je t’attends au salon, en tenue, tu as du travail. Et dépêche-toi.
    
    Je me libère rapidement, bandeau, bras et jambes. Quand je défais le nœud coulant, mes pauvres testicules se recroquevillent et rentrent se cacher.
    
    À l’étage, je me regarde fièrement dans le miroir : jolies zébrures rouges, mais ma petite bite est toute noire.
    
    Je m’habille : faux seins, soutien-gorge, porte-jarretelles, les bas nylon, la petite culotte, les mules, mon chemisier transparent, ma jupette noire plissée et noue mon petit tablier. Enfin ma perruque.
    
    Maîtresse est assise au salon. Je lui fais ma révérence, jupe relevée.
    
    - Tu as ton gode, Solange ? Montre.
    
    Je me penche, baisse ma petite culotte et écarte les fesses.
    
    - Allons, montre s’il est propre.
    
    Je l’extrais et le lui présente.
    
    - Mwais, il a besoin d’être nettoyé.
    
    - Maîtresse !
    
    Elle bondit et me gifle.
    
    - Quoi ? Dix coups de fouet ce soir pour ce refus. Allons, obéis.
    
    Je prends le gode en bouche et le suce consciencieusement.
    
    - On dirait que tu dois apprendre. J’y veillerai, une bonne femelle doit savoir sucer. Allez, remet le à sa place.
    
    Humiliée et honteuse sous son ...