1. Une histoire vécue.


    Datte: 12/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: OdetteMaso, Source: xHamster

    Par OdetteMaso
    
    https://fr.xhamster.com/users/odettemaso
    
    « Maîtresse, votre esclave est à la cave. Masturbez-vous, puis venez en silence. Donnez-lui au moins douze coups de fouet de toutes vos forces. Soyez sans pitié même si elle hurle ».
    
    Comme je passe mes journées seul, je m’excite sur internet. Quand je peux me retenir d’éjaculer, je suis dans un de ces états !
    
    Alors j’ai l’habitude de lui laisser ce genre de billets dans le hall pour qu’elle le trouve en rentrant de son travail.
    
    Cette fois, j’ai fait fort.
    
    À la cave, j’ai installé des pitons aux murs, deux près du sol, deux en hauteur. Quand je m’y lie, j’ai les jambes et les bras très écartés, de manière à être accessible de partout sans gêne pour son fouet.
    
    J’ai d’abord ouvert deux radios, sur des émetteurs différents afin de ne rien entendre d’autre et me suis mis des bouchons dans les oreilles.
    
    Je me suis mise toute nue, ne gardant que mes escarpins à talons aiguille. Des pinces à dents, lestées et bien mordantes aux tétons. Je me suis entré le plug anal, et me suis suspendu un parpaing aux testicules, à la limite du supportable. Puis j’ai passé mes chevilles dans les cordes. En guise de bâillon, une de ses petites culottes prise dans la manne, la partie bien crasseuse sur ma langue, et une ceinture de soie serrée pour la maintenir. Puis j’ai passé mon poignet gauche dans le nœud coulant, j’ai baissé le bandeau sur mes yeux. Enfin, j’ai attrapé la corde pour y glisser mon poignet droit et ...
    ... tirer afin de fermer le nœud coulant. Là, je suis totalement incapable de me libérer seule.
    
    Sans imprévu, Maîtresse doit rentrer dans une heure.
    
    Au bout d’un moment, je commence à sentir la fatigue. D’abord les jambes, cambrées sur mes talons trop hauts. Mais surtout, ce sont mes testicules qui ne supportent plus le poids du parpaing, j’ai présumé de ma résistance. Inutile de dire que je ne bande pas. De plus, il commence à faire frais.
    
    Enfin, je n’ai rien d’autre à faire que méditer sur mon sort.
    
    Mon seul regret, et il est fondamental, c’est que ce devrait être Maîtresse qui m’impose ce genre d’épreuve. Or si elle accepte volontiers de réaliser mes demandes, elle ne prend pas assez d’initiatives à mon goût.
    
    Elle a appris à me fouetter merveilleusement, me gifle volontiers à l’occasion, me fait faire les travaux ménagers en tenue de boniche, m’offre souvent son urine dans la bouche, dans un verre le matin ou même dans mes aliments, se fait lécher l’anus et me garde ses petites culottes bien encrassées. Tout cela, c’est moi qui le lui ai suggéré.et donc j’obtiens en partie ce dont j’ai besoin. Sauf l’essentiel : que tout ça vienne d’elle, qu’elle prenne enfin le pouvoir.
    
    À la longue, l’attente devient insupportable. Je l’ai voulu ainsi dans mon excitation, expérimenter une vraie situation d’esclave, mais là, j’approche de l’état de détresse. Je me jure d’être plus prudent la prochaine fois.
    
    Clac !
    
    La surprise me fait sursauter, le parpaing m’arrache les ...
«123»