1. Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion... (8)


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... progressivement. En fin de compte, Fanfan souhaitait cette pénétration, car le travail du doigt était extrêmement facile. Il n’y avait pratiquement aucune résistance. Alors il fit pénétrer un deuxième doigt, et toujours avec le suif, commença un mouvement de va-et-vient dans le cul de sa femme. Cette dernière commençait à prendre du plaisir à cette pénétration infamante. Quand il sentit qu’elle était prête pour se faire enculer, il remit une bonne dose de suif dans le petit trou, et se retournant vers le chef, lui dit :
    
    — Au premier de ces messieurs ! “
    
    Le troisième type s’approcha, le gourdin déjà à l’air, et attrapant Fanfan par les hanches, et serrant les chairs avec brutalité, se positionna à l’entrée du sanctuaire interdit et doucement pénétra la femme qui gémit de plaisir. Alors il se lança dans une sodomie sauvage, ponctuée par les gémissements, et les “ ah ouiii ! “, “ encooore !”, " encule-moi plus profondément !” de la femme offerte à ses assauts virils ! Fanfan, goûtant aux joies de ce plaisir dont elle était peu accoutumée, laissait la part belle à son plaisir, et enchaîna les orgasmes de plus en plus dévastateurs, jusqu’à la conclusion. Quand elle sentit le gland du mec pulser dans son conduit serré, elle poussa un long cri de jouissance. Al qui observait sa femme avec délectation, se dit qu’elle n’avait encore jamais joui comme cela.
    
    Le jeune homme du début prit la place de son comparse, et lui aussi se lança dans une sodomie effrénée. Fanfan n’en ...
    ... pouvait plus de jouir. Le chef prit sa place... et enfin Al.
    
    Il s’approcha, écarta les fesses et vit un œillet déformé, ouvert sur le monde, dont s’écoulait une quantité impressionnante de sperme. Cette vision lui donna un grand coup de chaleur dans tout le corps, et sans attendre, il s’enfonça brutalement dans le cul de sa femme. Celle-ci reprit sa logorrhée de femme en proie au plaisir, et ce manège le fit très vite jouir dans le conduit secret. Il lui semblait que jamais il n’avait pris un tel pied avec son épouse.
    
    Fier de sa performance, scrutant une Fanfan qui s’était retournée, le dos avachi contre le capot de voiture, des marques rouges de doigts sur les hanches, la sueur perlant sur son corps, la chatte et le cul dégoulinant de foutre, le rouge aux joues, les cheveux blonds emmêlés, il se demandait où était passée la fidèle épouse, la cadre infirmière... cette bourgeoise toujours bien mise, correcte et toujours en retenue...
    
    — Alors Fanfan, tripotée, baisée une fois, enculée quatre fois ! Mais quelle putain tu es devenue ! Et je vois que tu n’as pas honte de te donner ainsi en spectacle ! Tu acceptes tout, tu jouis comme une putain ! Tu es devenue une vraie chienne en chaleur ! Bien... maintenant, on va jouer à autre chose... après le plaisir, le déshonneur et la punition !
    
    Igorz, dis à tes gars de prendre ma femme, de l’amener sous le palan et de l’enchaîner, les bras en l’air, les jambes relevées, cuisses bien ouvertes ! puisque c’est une pute, on va la ...