Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion... (8)
Datte: 05/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... Fanfan soupira de contentement et se laissa faire en rejetant la tête en arrière.
— Eh bien, ça promet pour la suite !”, pensa Al.
Le type commença à l’embrasser, et Fanfan lui donna sa bouche sans aucune gêne apparente ! Puis les deux mains s’égarèrent sur les hanches, pour ensuite relever les pans serrés de la robe fourreau. Fanfan se trémoussa, pour aider le type à la lui relever au-dessus du porte-jarretelles noir, laissant apparaître le sexe dénudé de la belle.
Évidemment, Fanfan ne portait pas de culotte... qu’en aurait-elle fait ?
Le jeune type fasciné par ce sexe offert lui passa directement la main sur le pubis, ses doigts cherchant la fente pour s’y engouffrer !
Fanfan commença à couiner et à ahaner :
— Occupe-toi aussi de mon petit trou... j’ai trop envie d’un doigt dans mon cul, en même temps que dans ma chatte !
Al fulminait, sa femme était vraiment devenue une putain ! Il aurait bien voulu rentrer dans ce putain de garage, et lui dire sa façon de penser... toute cette dérive commençait à l’inquiéter... ou s’arrêterait-elle ? C’est alors qu’il y eut un petit miracle : le chef du trio dirigea son regard vers sa cachette et lui dit :
— Toi, homme derrière fenêtre ! Viendre ici ! Pour regarder salope à toi se faire baiser !
Al n’en croyait pas ses oreilles, les types savaient qu’il les matait depuis un moment. Il alla les rejoindre, il n’avait pas le choix !
Arrivé au niveau de sa femme, qui se faisait peloter nue, la robe à ses ...
... pieds, il ne put s’empêcher de la regarder aux prises avec le mec. Il avait une main entre ses cuisses, avec les doigts qui lui investissaient la fente, l’autre main derrière en train de caresser ses fesses, avec un doigt qui lui perçait la rondelle. Et enfin, il lui dévora littéralement les seins. Fanfan, en proie aux affres du plaisir, ne s’aperçut même pas de la présence d’Al ! Le chef s’approcha de lui et lui remit un papier qui provenait de Muriel.
— Toi lire papier. La flic expliquer tout quoi toi faire ! Obéir... sinon !
Le type blond, avec une gueule de mercenaire russe, écrasa violemment son poing dans sa main ouverte, avec un grand claquement... visiblement, il n’aimait pas répéter les choses. Le texte de Muriel disait ceci :
— Mon cher Al, je ne te remercierai jamais assez de me confier ta femme en tant qu’esclave sexuelle.
Tu parles, pensa-t-il, comme si on avait le choix, espèce de salope !
"Pour te remercier, et éventuellement te faire participer à nos jeux, tu dirigeras la séance du garage. Sois vicieux, imaginatif et très sévère avec ta petite pute de femme, qui se dévergonde de plus en plus. Tu seras filmé. Si le test est concluant, alors peut-être seras-tu invité dans mon donjon !
Ta gentille petite voisine. "
Mais quelle salope celle-là aussi ! Mais bon, peut-être, pourrais-je en retirer bénéfice... Al se sentait déjà plus joyeux. C’était lui qui allait donner les ordres ! Il était déjà surexcité à l’idée d’ordonner à ces mecs de baiser sa ...