1. Jeux pas si solitaire


    Datte: 12/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... de manière à me présenter ses fesses. Qu’elle se mi à tortiller de façon aguichante avec un sourire qui semblait vouloir dire : baise-moi.
    
    Je me suis affaissé de quelques centimètres. Suffisamment pour me trouver pile en fasse de sa chatte. J’ai amené mon gland au contact de ses lèvres soyeuses. D’un coup de reins j’ai investi son con chaud et moelleux ressentant comme une véritable décharge électrique dans tout mon corps. J’eus comme la sensation que mon sexe était aspiré au plus profond d’elle. Elle crispa ses muscles intimes sur ma queue m’infligeant un massage affriolant. Puis elle ondula des hanches, allant et venant sur ma verge. J'avais rarement rencontré une femme aussi souple, aussi accueillante.
    
    - Ah, putain, c’est mortel, avait déclaré la femme du boulanger.
    
    Ses fesses tapaient de plus en plus fort mon ventre.
    
    - Oh, putain, je vais mourir, s’est-elle mise à gémir !
    
    Elle se courba de plus en plus en avant, les mains appuyées sur un tronc. Je me mis à mon tour de la baisser avec entrain, alors qu’elle geignait sous moi, à petits cris de gorge. Pendant cinq bonnes minutes, variant les rythmes, je la besognais. Je détectais chez elle un frisson et j’ai tout de suite pensé qu’elle venait d’être regagner par un orgasme. De mon côté je ne cherchais même pas de retenir ma jouissance, laissant mon foutre taper avec force le fond de son ventre.
    
    - Oh, putain, qu’elle force… ce que c’est bon !
    
    Nous étions restés imbriqués l’un dans l’autre encore pendant ...
    ... un bon moment.
    
    - Merci, merci, m’avait-elle dit, quand je m’étais retiré ! Vous êtes un bon amant !
    
    - Et vous une bonne cochonne !
    
    Ça m’était sorti tout seul, comme m’était sortie ma semence. La femme m’avait répondu que j’avais sans doute raison parce qu’elle n’aurait jamais dû accepter de faire l’amour avec moi aussi rapidement.
    
    Pour reprendre vie, nous avions pris place sur une bille de bois. J’en profitais pour dénuder sa poitrine comprimée sous son tee-shirt. Ils étaient parfaitement ronds, haut plantés. Les aréoles roses disparurent sous ses doigts.
    
    Ses nichons étaient à la fois fermes et élastiques. Et leur peau brûlante. Je mordillais les pointes. Je tirais sur les tétons avec les dents puis les aspirais entre mes lèvres. Les pointes durcirent rapidement sous ma langue. Ils dardaient comme un petit doigt. Mais les seins n’étaient pas comme en dit : sa tasse de thé. Et elle me le fit comprendre, en me soumettant un :
    
    - Tu as déjà joui dans la bouche de ta femme ?
    
    - Oui… à plusieurs reprises déjà…
    
    - Et toi tu aimes cela ?
    
    - Il faudrait être difficile, non tu ne crois pas ?
    
    Elle se débarrassa de ses chaussures. Ses pieds étaient superbes. Je ne pus me retenir d’en porter un à ma bouche. Suçant l’un après l’autre ses orteils. Elle trouva ça très agréable. À lui en donner des frissons.
    
    Quand elle jugea que ma cajolerie ne lui procurer plus de sensation, elle s’efforça de reprendre les commandes en récupérant ses orteils fraichement téter. Et ...