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Une semaine au soleil
Datte: 12/02/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Gay Auteur: schpomb, Source: xHamster
... accueillant. Après quelques bavardages, Jürgen me dit : « Veux-tu enlever ton haut ? Tu sembles avoir une très jolie plastique. » J’ôtais mon tee-shirt, vite excité. « Oui tu es superbe ». « Prends tes seins dans tes mains. » Je m’exécutais. « Tu aimes cela je vois » Il se leva du fauteuil et se mit derrière moi. Il me prit délicatement les mamelons entre le pouce et l’index. Il me susurra. « J’aime les belles poitrines. » C’était divin. Il ajouta « tombe ton shor.t » Je le déboutonnais et il tomba sur me sandales. Ma verge grossissait. Sa main la saisit. Puis il conclut « très bien. » Jean-Charles était en face et n’en perdait pas une miette. « Je vais mettre tes sens en éveil. » me fit Jürgen. Il prit un pot qui contenait un baume jaune. Il s’enduisit un doigt puis me caressa circulairement les mamelons. « Tu vas ressentir la chaleur sur tes seins qui vont se tendre. Laisse agir l’onguent, ne les touche pas ». Je ne bougeais pas. Dès qu’il eut fini, je sentis la merveilleuse sensation, je me cambrais naturellement. Les mains de Jürgen se baladaient délicatement sur mon corps. Il me décalotta et me passa du baume sur le frein. Ma verge devint dure et presque douloureuse. « Mets-toi à quatre pattes sur le pouf ». Je m’exécutais. Je sentais mes seins tendus et ma verge si dure. « Les jeunes sont souvent étroits. Pour profiter au maximum, je ...
... vais te préparer en douceur » Il m’écarta les cuisses, ses mains me palpaient les fesses, en faisant parfois quelques allers-retours sur mes seins. Il reprit du baume et me massa mon petit orifice. Je savais que j’allais me faire prendre. « Mes massages vont t’ouvrir.» Une sensation chaude m’envahit alors, accompagnée du désir d’être pénétré. Ses doigts me massaient avec le baume des fesses au sexe, sans épargner les œufs. Mon corps en réclamait toujours plus quand il entreprit de me pénétrer d’un doigt. Il comptait au fur et à mesure des doigts qu’il m’insérait. Au troisième, j’offrais une résistance et lui demandais de ne pas aller plus loin. Mais il s’empara de lubrifiant et me fit respirer un Poppers. Il continuait son va-et-vient lent. La chaleur de la respiration me poussait à accepter plus. Finalement, je sentis son pouce qui rejoignait ses autres doigts. La douleur était forte, mais l’excitation immense. Le plaisir de se laisser mener. Jürgen me retourna sur le dos et reprit son mouvement entre mes fesses. Je sentis comme une déchirure et sa main était en moi. Il ne la bougeait plus et entreprit de me branler lentement, mais virilement. Alors que je me caressais les seins, je jouis avec force. Sa main toujours en moi ressortit tandis que je m’abandonnais aux spasmes de la volupté, pour le plus intense des plaisirs que j’ai pu connaitre.