Notre premier trio avec l'amant de ma femme - Histoires de Sexe

Notre premier trio avec l'amant de ma femme

... marmelade à ne plus pouvoir s’asseoir pendant le reste de la journée. C’est lui qui en joui et c’est moi qui dois lui passer de la crème apaisante et la tranquilliser ensuite pour lui dire qu’à mes yeux elle ne sera jamais une vulgaire « salope », mais plutôt une femme déterminée qui ose enfin satisfaire ses instincts naturels pour jouir sans contrainte, sans se soucier du qu’en-dira-t-on.

Même si je sais qu’elle n’est absolument pas amoureuse de Marc, mais uniquement de sa grosse queue qui la fait jouir « comme un vibromasseur naturel » me dit-elle, je le jalouse un peu quand même. Depuis peu le comportement général de Mylène a également changé suite aux situations dans lesquelles Marc la met parfois pour l’exciter. Il lui arrive ainsi depuis le début de l’été d’aller faire les courses sans soutif, ni culotte avec un chemisier et une jupe légère ne la protégeant absolument pas des regards. Cela l’excite même me dit-elle, lorsqu’elle voit la tête abasourdie de ses copines de l’association. Mais elle a fait une émule, Béa qui ose désormais assumer son fantasme ...

... en ne portant plus de soutif et probablement plus de culotte lorsque nous les rencontrons, pour le plus grand plaisir de Brice, son mari, m’a-t-il confié.

La pudeur de Mylène est maintenant une histoire ancienne. Elle a franchi un nouveau pas, même à la maison avec les enfants autour. Elle n’hésite plus à sortir de la douche avec uniquement une serviette normale nouée autour de ses seins au risque de ne pas couvrir totalement ses fesses ou sa chatte, lorsqu’elle traverse le salon pour rejoindre notre chambre.

Ses filles qui portent toujours un soutif même symbolique pour la plus jeune, lui en ont fait la remarque. Elle leur a simplement rétorqué qu’elle se sentait beaucoup plus à l’aise comme ça et mieux dans sa tête et son corps qu’à toujours devoir faire attention, mais que même si aujourd’hui sa nudité ne lui posait plus aucun problème, elle respectait leur pudeur d’adolescentes, vu qu’elle ne s’était finalement libérée de ce carcan que très récemment à plus de quarante ans.

La suite de nos années quadra de plus en plus débridées au prochain numéro.