Notre premier trio avec l'amant de ma femme - Histoires de Sexe

Notre premier trio avec l'amant de ma femme

... c’est l’exhibitionnisme pendant nos rapports sexuels, d’imaginer que quelqu’un puisse s’exciter en nous regardant ! répondent en chœur Béa et Brice.
— Je dois vous avouer que nous aussi nous nous lâchons à évoquer nos fantasmes pour nous exciter lorsque nous faisons l’amour, rajoute leur copine Sylvie.
— Ah bon et c’est quoi ton fantasme, si ce n’est pas trop indiscret ? je lui demande du tac au tac.
— Elle aimerait faire l’amour avec une autre femme, avec la tienne surtout ! répond Lucien en regardant sa femme Sylvie rougir de honte.
— Mais je ne sais pas si Mylène acceptera. Un mec de plus à s’occuper, c’est déjà beaucoup. Et tu m’as dit que tu n’étais pas très attirée par tes consœurs depuis ton expérience en internat, n’est-ce pas ma chérie ? Je crois que Mylène est prête aujourd’hui à réaliser tous vos fantasmes, avoue-le Mimi, se presse de répondre Marc.
— Oui je dois vous dire que Marc m’a ensorcelée au point de me faire faire des choses que je n’aurais même jamais pu imaginer, se sent obligée d’ajouter ma femme.
— Comme quoi par exemple ? interroge Lucien de plus en plus excité.
— Eh bien à peu près tout ce qu’il me souhaite voir faire en privé ou en public. Vas-y mon petit Marco, lance-moi un défi, cette discussion me fait terriblement mouiller !
— Même ton langage a évolué, on t’a connue plus pudique dans la description de tes sensations et dans ta tenue, lui répond sèchement Béa.
— Pour satisfaire les fantasmes de tes deux copines, tu n’as qu’à soulever ...

... ta jupe, ma Mimi d’amour, pour aller présenter ensuite ta chatte à lécher à Sylvie… lui propose Marc.

Je réalise alors à quel point, ils sont intimes à présent avec des « mon petit Marco » par-ci et des « ma mimi d’amour » par-là, et surtout avec le langage cru employé par Marc pour inciter ma femme à se dépasser. Je doute encore de sa capacité à se lâcher face à ses copines, même si le repas un peu arrosé, après un très long apéro et maintenant les digestifs, a dû avoir raison de ses derniers scrupules à s’exhiber en public.

Mais, c’est au moment où ma femme, toujours assise, écarte sciemment ses cuisses pour se relever, remontant ainsi sa jupe jusqu’à la taille pour faire découvrir à l’assistance, l’espace d’un instant, son intimité humide et par là-même qu’elle ne porte pas de culotte, que des cris d’enfants nous font soudain redescendre sur terre… L’un d’eux s’est fait mal au genou en tombant et nos filles Juliette et Sandrine le ramènent avec sa sœur Camille pour se faire soigner par Sylvie, sa mère. Ce n’est pas grave du tout, mais les plus petits ayant sommeil, nous décidons alors à regret d’un commun accord d’écourter la soirée. Chacun repart chez lui avec une meilleure idée de la sexualité des autres couples pouvant à terme augurer de soirées plus animées.

En arrivant dans notre chambre à coucher, Mylène, tout excitée encore par la tournure de la dernière discussion et fière d’avoir franchi une nouvelle étape en exhibant son minou en toute impudeur devant nos ...