Mon fils, cet étalon. (20) - Histoires de Sexe

Mon fils, cet étalon. (20)

... n’était plus fait que d’échange de regards et de sourires. J’avais une érection comme jamais, mais coincé par un savant harnais, elle ne s’est doutée de rien. Lors de mon final, le harnais ôté, elle me regardait de la même façon, avec envie. J’ai su à ce moment-là que ma vie allait changer. On est partie ensemble chez moi. Je ne l’ai pas baisée, je lui ai fait l’amour.

Le lendemain, elle me présentait à ses parents, de riches notables d’Aix-en-Provence. Depuis, je suis leur belle-fille et on vit chez eux. Voilà, tu sais à peu près tout.

— Et la soirée de l’autre soir, c’était prévu...

— De A à Z, ma belle.

Je sirote mon mojito et lui pose encore une question :

— Et ses parents savent pour...

— Mon sexe, oui. Mais je ne balade pas à poil quand ils sont là. Je suis devenue la confidente de sa mère, elle veut un petit-fils ou fille.

— Qu’en dit Amandine ?

— Elle ne le sait pas. On a le temps, on est encore jeune. On s’amuse, comme ce soir, on profite.

Je la regarde intensément et l’embrasse.

— Et ta dose, prête à la recevoir ?

— En es-tu capable ?

Elle s’assoit sur le bar, m’attrape dessous les bras et m’embroche comme une volaille.

— Tu vas voir, je me suis retenue depuis la dernière fois que je t’ai vu.

— Hatchiii... Que d’honneur !

Elle commence à me soulever comme un fétu de paille. Ses bras musclés se resserrent autour de mes hanches pour imprimer un rythme lent, mais profond. Mon Jéjé en a fait de même à sa chérie.

Je me ...

... fais limer comme la dernière des salopes, mais bordel de merde, que c’est bon. Je pose mes pieds sur le comptoir et me tiens à son cou. La position est parfaite et je m’abandonne à mon plaisir. Les ahanements de Fabricia sont signe de sa libération.

— Désolé, tu m’excites trop, je vais venir...

— Jouis en moi, j’en suis flattée...

— ARGH... OUIIIII...

Il se déverse en moi. De longs jets puissants viennent frapper mon col. Il m’inonde. Putain que c’est bon de ressentir cela. Je m’effondre un instant dans le creux de son épaule. Il m’arrose toujours, je lui embrasse le cou. Je le lèche et me shoote avec sa sueur. Pas de doute, c’est un animal.

Il me repose sur un tabouret, je sors de l’eau en mettant ma main entre les cuisses. Putain, il m’a mis la dose.

Fabricia me rejoint à la douche extérieure et avant que l’eau ne jaillisse. Elle s’accroupit et récupère son nectar qu’elle partagera avec moi.

C’est dingue, quand il était en train de me faire défoncer, je voyais un mec. Quand elle m’a léché, c’est une belle black que je regardais. Je pars dans un fou rire et j’explique à Fabricia la raison de mon rire.

— La seule à m’avoir avoué ce que tu viens de me dire, c’est elle, dit-elle en me désignant Amandine qui se rapproche de nous.

— Y a une petite place pour moi. Toutes les autres douches sont prises.

On se savonne quand Amandine me regarde dans les yeux.

— C’est un sacré bon coup mon mec, hein. Une sacrée baiseuse ma nana. J’ai tout ce qu’il me faut ...