Mon fils, cet étalon. (20) - Histoires de Sexe

Mon fils, cet étalon. (20)

Mon fils est stressé, il n’en serait à moins. Se faire prendre son pucelage anal par une transsexuelle black, plutôt bien membrée, n’est pas offert à tout le monde. Il arrive avec une gaule d’enfer, accompagné de la petite Eva. Frabricia la fait s’asseoir dans un fauteuil, jambes reposant sur les accoudoirs. Le coup d’envoi est donné.

— Dans quelle position veux-tu être pris ? Sur le dos comme une chienne en chaleur, en levrette le visage tourné vers ta copine.

— Euh, en levrette...

— Es-tu propre de partout ?

— Euh...

Après un passage à la salle de bain, c’est avec une érection moins triomphante que revient mon fils. Fabricia lui a nettoyé le conduit anal.

— Bien, installe-toi sur la table basse.

Avec les coussins que positionne judicieusement Frabricia, c’est-à-dire un carré sous chaque genou et un plus long sous sa tête, elle me tire jusque sur les fesses de mon bébé.

— Doucement, dis-je à Fabricia, il est novice.

— Je sais, ça se voit et c’est pas le premier que je dépucelle.

Elle m’appuie sur la nuque, ma langue est au contact de la petite rondelle fripée. Je le lèche, on le lèche. Avec Fabricia, on lui dilate son anus juste avec nos langues. Nos salives se mélangent. Eva se branle lentement en regardant son mec. Dehors, ça geint, preuve que ça a repris de plus belle.

Son anus s’ouvre lentement et la trans y insère de la salive. Je l’imite, elle me sourit. Elle crache dans sa main et se branle lentement pour bien se lubrifier. Le petit ...

... trou palpite sous nos assauts répétés. Mon fils gémit.

— Je crois qu’il est prêt. Pousse comme si tu allais chier, mon chéri.

Elle pose son gland sur la pastille de mon fils. Elle se referme. Elle lui met une claque appuyée, le gland est rentré. Mon fils respire fort, le pauvre.

— Voilà, comme papa dans maman, le plus dur est fait.

Elle pousse d’un mouvement lent, mais continu. Elle arrive en butée. Je ne sais dire si les bruits et les gémissements de mon fils sont de douleur ou de contentement, les deux peut-être. Elle reste immobile plusieurs secondes puis se retire en laissant son gland à l’intérieur. Elle rentre plus fort, plus violemment.

— AHHHH, fait Jéjé.

Fabricia me sourit et lime le petit cul de mon fils à un rythme régulier. Elle semble apprécier son conduit étroit, elle souffle comme une vieille locomotive. Elle se redresse et met ses jambes de part et d’autre des fesses de mon fiston et entame un véritable rodéo, entraînant la table vers Eva. Elle se doigte la chatte et son gros cul, la salope. Jéjé semble jouir.

— Han, han, han... Oui, oui... OUIIIIIII...

La beauté, qui est en train de lui ramoner son cul, se déchaîne. Elle transpire, je vais vite fait prendre une serviette à la salle de bain. À mon retour, Jéjé a la bouche collée sur le sexe d’Eva qui jouit. Elle inonde le visage de mon fils, ainsi que le coussin. C’est du propre, il va falloir changer tout ça.

Fabricia me fait mettre sous mon fils. Après moult contorsions, je suis à la ...