1. La vie dissolue d’une bigote 1 La découverte du plaisir


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... tutoie pour la première fois. Elle me vouvoiera toujours – Ils bandent ! Je suis même sûr que tu mouilles comme la salope que tu es et que tu caches depuis si longtemps. »
    
    Elle ne réagit ni à mon tutoiement, ni aux paroles humiliantes. Au contraire, elle soupire un peu plus, colle son dos contre le dossier de la chaise et renverse sa tête en arrière. Elle m’abandonne ses seins, vaincue par ses sens qui la trahissent. Je sais que j’ai gagné et qu’elle est maintenant totalement à moi.
    
    Je roule ses énormes tétons entre mes doigts et lui provoque un premier orgasme. Cette capacité à jouir avec ses seins lui était inconnue, puisque interdite. Son mari n’a jamais pensé à jouer avec des tétons pourtant proéminents et donc attirants pour un homme… « normal ».
    
    Je la fais lever. Elle obéit comme dans un nuage. Je la tourne face à moi, détache la ceinture et fais tomber le peignoir.
    
    « Maintenant, Geneviève, quand tu es avec moi, je veux que tu sois nue !
    
    Mais … Voyons ! Je suis grosse et vieille !» gémit-elle. Elle tente une dernière fois de résister mais ne proteste pas plus et s’abandonne à mes caresses. Ses scrupules de départ ont disparu, elle est maintenant soumise à ses pulsions lubriques. Ce n'est plus la situation qui la gêne. Elle accepte son sort. Elle se cache derrière son physique pour y trouver un obstacle bien mince. Elle n'a plus envie que j'arrête, mais n'ose pas se l'avouer.
    
    Tu n’es pas grosse, tu es ronde. Je veux voir tes gros seins, qui me font ...
    ... bander depuis trop longtemps. Je veux voir et sucer tes gros tétons qui bandent, ton gros cul et tes grosses cuisses. Tu sais que tu es beaucoup plus belle nue qu’avec tes horribles vêtements de mémère sur le dos ! Attention tout de même, pour les autres personnes, surtout ne change rien ! On s’apercevrait bien vite du changement et on soupçonnerait que tu as un amant et les gens chercheraient à savoir qui. Alors, garde tes habitudes et ta façon de t’habiller comme une vieille bigote que tu es. Maintenant, belle-maman, je vais de nouveau te baiser sur cette table.
    
    Oh voyons ! Ne parlez pas comme Ça !
    
    Ce n’est pas ce que tu veux peut-être ? Arrête un peu de faire ta mijaurée ! Tu as envie de baiser, oui ou non ?
    
    N... O… Oui… Mais…
    
    Alors dis-le ! Je veux t'entendre !
    
    Vous êtes un monstre ! O... Oui ! Je veux que vous... me...
    
    Baisiez !
    
    Ce n'est pas possible ! Je ne peux pas dire Ça !
    
    Vas-y salope ! Tu en meurs d'envie !
    
    Oui ! S'il vous plaît ! Bai... Baisez-moi !
    
    Voilà qui est bien, belle-maman ! Puisque tu le veux...»
    
    Je la fais coucher les fesses au bord de la table et je relève ses jambes. Je baisse mon jogging sous lequel je suis nu, pose mon gland sur sa chatte abondamment poilue, et je la pénètre d’un coup. Son vagin est brûlant et dégouline de cyprine.
    
    « Eh bien, ma salope, tu es bien mouillée ! La preuve que tu avais envie de te faire sauter !
    
    Oh oui ! C’est bon ! Que me faites-vous faire ? Ouii ! Continuez ! Baisez-moi fort ! ...
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