1. La vie dissolue d’une bigote 1 La découverte du plaisir


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... efforts, la salope étant une « chaudasse » avec laquelle je m'éclatais bien.
    
    Pourtant, on s'entendait bien pour baiser. Une vraie nymphomane ! Autant l’un que l’autre nous ne nous gênions pas pour courir à droite et à gauche, vers d’autres partenaires, aucun des deux n’y voyant d’inconvénient.
    
    Finalement, après ce que je viens de vivre, la moins gourmande des trois est celle qui dort en ce moment à mes côtés. Sa mère, m’a tout de même pris le sexe en main, avant que je ne la touche ! Elle s’est donnée à moi, nue sur la table de sa cuisine !
    
    Le comble est que en pensant à tout cela, je bande à nouveau comme un fou. La vision des énormes tétons sur la lourde poitrine de Geneviève, m’obsède.
    
    Je fini tout de même par m’endormir malgré la chaleur et les idées lubriques. Le matin, je sens ma copine se lever pour partir au travail. Je feins un profond sommeil. Elle m’embrasse et s’en va me murmurant « dors bien »
    
    Quelques minutes après, j’entends ma belle-mère se lever à l’étage. Elle qui est toujours levée de bonne heure, a aussi attendu le départ de sa fille ne voulant sûrement pas la croiser comme chaque matin au petit déjeuner. Je me lève alors, enfile un jogging et un tee-shirt et je monte à la cuisine.
    
    J’y trouve Geneviève attablée. Elle porte toujours son peignoir et ne lève pas la tête à mon arrivée. Je lui lance un « bonjour » et en passant derrière elle, je dépose rapidement un baiser dans son cou. Elle se raidit mais ne manifeste rien, ne proteste pas. ...
    ... Je m’installe en face d’elle comme d’habitude et prends mon petit déjeuner sans un mot. Je l’observe à la dérobée, sentant parfois qu’elle voudrait parler, mais aucun mot ne sort de sa bouche. Volontairement, je ne cherche pas à alimenter la conversation et je ne romps pas le lourd silence qui s’est installé.
    
    Je termine de déjeuner, je range bol et couverts dans le lave-vaisselle et je m’apprête à partir. Alors que je passe derrière sa chaise, elle se décide enfin :
    
    « Jean…Il faut qu’on parle !
    
    Mais bien sûr ! Je vous écoute » Je reste derrière son siège.
    
    On … Nous ne… pouvons… pas... continuer… comme cela ! Vous comprenez ?... Ce n’est pas… convenable ! Ce n’est pas raisonnable ! Ce n’est pas possible ! Est-ce que vous vous rendez compte de ce que nous avons fait ? » De ma position au dessus d’elle, j'ai une vue plongeante dans l'ouverture de son peignoir où je vois le haut de sa poitrine avec le profond sillon qui sépare les gros seins. Je me penche par-dessus elle, passe mes mains à l'intérieur du vêtement, empaume ses seins et mes doigts s’emparent des tétons, encore bien raides. Elle geint mais se laisse peloter - « Il ne faut pas … Non !... S’il vous plaît ! » Bien sûr je n’arrête pas. Je sens qu’elle n’a pas non plus vraiment envie que j’obéisse. Sans le savoir, elle est déjà soumise à ses désirs. Ses paroles sont un dernier baroud d’honneur de sa conscience, elle ne pense pas ce qu’elle dit.
    
    « Je crois que tes tétons te trahissent belle-maman – Je la ...
«1...345...13»