Delilah Desire : Koloss - Histoires de Sexe

Delilah Desire : Koloss

... maintenant, regardait Delilah avec pitié. Il s’assit près de la cage et la fixa sans rien dire. Bientôt, les ronflements de son collègue résonnèrent en chœur avec ceux de Haal.

— Je suis – commença-t-il tout bas.
— Désolé, je sais, compléta Delilah d’une voix cassée de douleur. Non ?

Ses lèvres lourdes et luisantes s’ourlèrent en un sourire. Le démon acquiesça en hochant la tête, comme un enfant.

— Viens là, mon bébé, chuchota-t-elle en le fixant de ses yeux de succube.

Le démon faisait au moins deux mètres de plus qu’elle et avait probablement une trentaine d’années. Pourtant, il était son bébé.

Il s’approcha d’un pas lourd, soulevant des gerbes d’os cassés.

— Je sais que tu t’en veux pour ce qu’ils m’ont fait, chuchota Delilah.
— Nous devons obéir à Nargulh, dit le démon d’une voix profonde.
— Je sais ça aussi. Mais Nargulh est un maître de guerre, non ?
— Si… répondit le démon hésitant, sans savoir où Delilah le menait.
— Et moi, je suis devenue une maîtresse de guerre. J’ai le même statut que lui, maintenant. Alors… Tu as le droit de choisir ton camp. Tu as le droit.

Elle s’approcha de la paroi de la cage, et passa une main entre deux barreaux. Et la plongea sous le pagne du démon, caressant sa cuisse noire comme la nuit avant d’attraper en aveugle la bûche qui lui servait de queue. Même avec ses deux mains ouvertes et tendues, elle n’aurait pas pu en faire le tour. Elle commença à la masser du bout des doigts, puis de la paume. La bouche du ...

... démon était entrouverte, et ses yeux fermés. Delilah s’approcha encore plus, tremblante de froid et de douleur. Ses gros seins se pressèrent contre les barreaux verticaux de la cage… Se pressèrent encore… Encore… Et passèrent entre les barreaux, chacun de son côté, enserrés à leur base par les tiges de bois. Ils virèrent vite au bleu, leurs veines gonflèrent, alors que le pagne du démon se soulevait lentement, dévoilant une queue plus épaisse que la cuisse de Delilah. Le gland humide du démon frotta un instant sur le sein gauche de la maîtresse de guerre, avant d’être soupesé et dirigé par les doigts fins de la jeune femme vers sa bouche.

— Hooo… Madame Desire… murmura le démon alors que Delilah donnait de petits coups de langue sur cette queue énormissime. Je crois que vous êtes en train de choisir mon camp pour moi…

Delilah ne répondit pas et attrapa la queue à deux mains. Même sans pouvoir, faire exploser une bite restait son métier. Elle commença à branler le monstre comme elle aurait agité un poteau, tout en lapant de sa langue le jus clair et salé qui suintait de son gland collé aux barreaux. Ses seins bleuis palpitaient contre les grosses couilles glabres du monstre, dont le corps entier frémissait.

— Ma déesse… Ma déesse… murmurait-il.

Delilah se concentra, accéléra le rythme, et promena sa langue tout le long de cette énorme bite turgescente, qu’elle enserrait de ses bras nus comme elle aurait cajolé un bébé.

Puis les premières giclées lui tombèrent ...