Delilah Desire : Koloss
Datte: 12/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
grosseins,
taille,
entreseins,
facial,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Talaff, Source: Revebebe
Résumé des précédents chapitres :Delilah Desire, ancienne esclave sexuelle au royaume de Doniri, a brisé ses chaînes. Désormais à la tête d’une armée d’insurgés, elle prépare en secret sa conquête du pays… Lors d’un récent voyage dans la ville de Netel, la jeune femme a reçu d’un inconnu un étrange présent, un collier aussi magnifique qu’impossible à enlever. Privée de ses pouvoirs, Delilah se retrouve seule, cherchant un moyen d’arracher son entrave.
Delilah avait passé la journée allongée sur le lit de sa chambre d’auberge, nue, un poing complètement enfoncé dans son sexe lisse et bombé, et l’autre occupé à pétrir les énormes globes chauffés à blanc de sa poitrine. Elle avait sué, gémi, empli sa chambre d’une moiteur de sexe, de masturbation et de larmes, et pourtant, elle sentait la différence. Son pouvoir avait disparu.
Après sa petite transaction avec Lacker, elle avait congédié ses deux soldats, leur ordonnant de retourner en ses terres. Les démons avaient eu l’air perplexe, mais n’avaient pas osé contredire les ordres de leur maîtresse. Madame Desire devait avoir un plan secret en tête, s’étaient-ils dits avant de repartir pour la tour blanche.
Mais Madame Desire n’avait pas de plan en tête. Juste de la bonne grosse panique poisseuse et gluante, qui lui coulait dans le cerveau comme le sperme puant d’un lépreux. Ses pouvoirs, sa capacité à provoquer des orgasmes en une seconde, son agilité hors norme, sa force, sa magie… tout avait disparu, d’un seul coup. ...
... Son pouvoir, la seule et unique chose qui rendait vraiment envisageable son plan de conquête de tous les royaumes. Et elle savait d’où venait le problème.
Elle se leva, simplement vêtue de ses bijoux, chaîne en or pendant sur ses hanches généreuses, bracelets d’argent enserrant ses bras bronzés, lourdes bagues à chacun de ses doigts, colliers de perles tombant entre ses deux divinités mammaires. Et autour du cou, serré au point de presque l’étouffer lorsqu’elle respirait trop fort, un tour de cou en argent, serti d’une seule pierre, une demi-sphère vert pâle. Elle s’approcha du miroir de la chambre et passa doucement ses doigts sur la surface douce de la pierre. Par la fenêtre ouverte, le soleil déclinant plongeait la chambre dans une lumière orange, et la peau de Delilah était de bronze et d’or, incarnation parfaite de la luxure, pouvoir ou non.
Un inconnu aux belles manières et au visage vide de vice lui avait donné le bijou quelques minutes avant qu’elle ne rencontre Lacker, le forgeron. Et comme la stupide connasse qu’elle se reprochait d’être, elle ne s’était pas méfiée. Elle l’avait mis. Entre ses masturbations furieuses (mordre l’oreiller / frapper le mur de ses pieds et de ses poings / hurlements aigus / mouille qui fait un lac sur le matelas), elle avait tiré dessus de toutes ses forces, à s’en faire bleuir la nuque. Elle avait tenté de le couper avec un couteau à métal, s’écorchant le cou. Mais le collier n’avait pas cédé. Elle avait frappé la pierre de toutes ...