1. La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... bientôt sa langue communie avec la mienne. Nous sommes brûlantes et lorsque nous nous séparons je vois ses yeux briller. Elle veut parler, mais d’un doigt sur les lèvres, je la fais taire.
    
    Rapidement, nous reprenons nos tenues, Geneviève achète la robe et nous quittons le magasin sous le regard amusé de la vendeuse qui se doute bien que quelque chose s’est passé dans la cabine.
    
    Dans la rue, je lui prends la main, sans un mot, nous marchons. J’aperçois un petit bar, façon pub anglais, j’entraine Geneviève à l’intérieur et, au fond de la salle, une table retirée nous accueille. Dès que le garçon repart après nous avoir servies, Geneviève, assise à mes côtés sur la banquette, lance :
    
    « Ludivine, nous ne pouvons pas…
    
    Ne pouvons pas quoi ?
    
    Vous savez bien !
    
    Nous aimer ? Moi, je vous aime déjà !
    
    Vous êtes une femme ! Et si jeune!
    
    Oui, et j’aime, aussi les femmes et vous, vous êtes très belle ! Vous me plaisez beaucoup ! Vous n'êtes pas vieille et je pense beaucoup à vous !
    
    C’est de la folie !
    
    Parce que je suis une femme ? Vous n’aimez pas les femmes ?
    
    Si… Non… enfin pas… comme ça !
    
    Pourtant, je vous ai sentie émue tout à l’heure et même encore maintenant.
    
    Quelque chose vous gène ?
    
    C’est que… Je n’ai jamais… C’est la première fois que… j’embrasse … une… femme
    
    Et ça ne vous a pas plu ?
    
    O… Oui !
    
    J’ai encore envie de vous embrasser ! Je me penche vers elle et prends ses lèvres. Elle se laisse faire, puis se recule ...
    ... brusquement.
    
    Pas ici ! Il y a du monde !
    
    C’est ça qui vous gène ? Venez ! »
    
    Nous quittons très vite le petit établissement, sans même finir nos consommations. Nous marchons vite vers ma voiture, je sens sa main qui serre la mienne très fort. Avant d’arriver, n’y tenant plus, je l’entraine dans une ruelle étroite et contre le mur, à l’abri des regards, nous nous embrassons follement. Mes mains virevoltent sur son corps, ses seins, ses hanches, sa taille. A bout de souffle, nous nous séparons, puis reprenons notre course vers la voiture.
    
    Après nous être embrassées encore, je démarre pour nous trouver un coin tranquille dans la campagne. Durant tout le trajet, au lieu de se refroidir et se reprendre, Geneviève garde sa main posée sur ma cuisse, me communiquant sa chaleur.
    
    Au bout d’un chemin, une clairière complètement invisible que je connaissais et nous pouvons reprendre nos ébats. « Passons derrière » dis-je
    
    Nous sommes toutes deux survoltées et nos habits sont vite éparpillés dans l’habitacle. Je découvre enfin le corps de Geneviève en entier et je ne suis pas déçue ! Ses tétons sont énormes ! Je me jette dessus comme une morte de faim et là, surprise ! Mes doigts qui sont déjà dans sa chatte, sont inondés ! Geneviève est une fontaine ! Ça je le savais puisque tu m’y a fait goûter salaud ! Justement, j’ai voulu y re-goûter à son jus, aussi, je suis descendue entre ses cuisses. Elle a bien tenté de résister, mais j’ai rapidement retrouvé cette chatte onctueuse. J’avais la ...
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