1. Banquière perverse (23)


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... vais ?
    
    Elle se redresse, regarde, se repère et dit :
    
    — Là à gauche ! Bon, soit tu te repères, soit on met le GPS ?
    
    — On met le GPS !
    
    Elle allume l’appareil, rentre l’adresse et retourne à son ouvrage. Que c’est bon ! Ça bouchonne et elle m’astique la queue jusqu’au moment où :
    
    — Je… !
    
    Trop tard, je lui éjacule dans la bouche ; elle aspire, avale et lèche ma bite toute baveuse de sperme puis la range dans son étui.
    
    — Humm… ! Ça fait du bien n’est-ce pas ? interroge ma chérie.
    
    — Tu veux dire génial ! Et cette petite exhibe m’a fait un tel effet, qu’il faudra le refaire !
    
    — Tu as vu ça un peu ! Elle ne t’a jamais fait ça, je suis sûr ?
    
    — C’est vrai, t’es une championne ; ma Chérie, je t’aime !
    
    — Moi aussi, je t’aime ! Alors, un point pour moi ! Et maintenant, tu vas être obligé de me récompenser !
    
    — Dis-moi, on dirait que tu vas de mieux en mieux ?
    
    — Oui, les médicaments que m’a donnés le toubib sont vraiment efficaces ! Ah, on arrive, tu as la télécommande du portail ?
    
    — Oui, là au milieu.
    
    Je gare la voiture dans la cour et nous rentrons dans la maison. Nous voici seuls tous les deux.
    
    — Allez mec ! À poil, attends-moi dans la cuisine, j’arrive !
    
    À peine le temps de me déshabiller qu’elle apparaît entièrement nue et un tube à la main. Elle s’assoit puis s’allonge sur la table de la cuisine.
    
    — Lèche-moi et fais-moi l’amour, tu me dois bien ça !
    
    — Bien Madame, avec plaisir !
    
    Je lui lèche la minette, il est vrai qu’elle a ...
    ... envie ; sa fente dégouline de cyprine au goût si doux. Puis ma langue se régale de son clito qui, une fois lapé avec soin ; c’est au tour de ses petites et grandes lèvres de se faire copieusement lécher. Je ne peux pas passer mon doigt devant sa grotte sans y avoir introduit tour à tour ma langue et mes doigts puis, je lui offre mon dard tendu comme un arc. Cette fois elle glousse, et crie de bonheur en arrivant à l’orgasme qui déboule d’un coup, sans prévenir. Ensuite elle se retourne comme si ce que je venais de lui faire était d’une extrême banalité ; elle me tend le tube de pommade prescrite par le médecin.
    
    — Crème-moi, maintenant …
    
    — Le cul ?
    
    — Non sale vicieux, les fesses et le dos ; tu ne penses qu’au cul ; toi !
    
    — Eh bien toi ! Tu ne manques pas de toupet !
    
    — Allez ! Dépêche-toi, après on va appeler la petite Sophie !
    
    — Cool !
    
    — Est-ce que j’ai encore des marques dans le dos et sur les fesses ?
    
    — Presque plus, je pense que demain il n’y paraîtra plus rien.
    
    — Tant mieux, je ne voudrais pas que Sophie voit ça ; on ne parle pas de ce qu’il s’est passé, hein ?
    
    — Évidemment ! Mais tu as l’intention de te faire la petite…
    
    — Pas toi ? N’oublie pas que tu as une longueur d’avance sur moi ! Et je te rappelle que j’aime aussi le faire avec des femmes, alors…
    
    — Bon, OK ! Je m’incline.
    
    J’ai fini de tartiner ma Chérie, et je n’ai pas lésiné sur la quantité ; le toubib avait dit : « en couche épaisse ! » Alors j’ai respecté la consigne.
    
    — ...
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