1. Banquière perverse (23)


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    Rappel du chapitre précédent.
    
    Jelila avait appelé un ami médecin afin d’ausculter ma chérie, il lui prescrivit un calmant et une pommade pour apaiser ses douleurs ; il s’était aussi entretenu longuement avec ma chérie pour qu’elle se libère du souvenir de ces mauvais moments. Nous étions tous « retournés » par cette situation ; j’avais aussi reboosté Jelila, qui en larmes, reprit rapidement le dessus. Le toubib resta manger avec nous et la soirée se passa tranquillement. Par contre notre début de nuit à Gladice et à moi fut extrêmement jouissif, et après avoir fait l’amour, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
    
    — ooOoo —
    
    Je me réveille. Il fait jour et il doit faire beau dehors, car le soleil darde ses rayons au travers des persiennes et ils nous caressent le corps ; un coup d’œil sur mon téléphone : il est huit heures trente. À côté de moi, ma petite chatte se réveille doucement. Je lui dépose un doux baiser ; et elle m’attrape le sexe.
    
    « Humm ! C’est mignon ça : Ma petite chatte ! » Vous ne trouvez pas ? … » Bref, je reviens à mon récit !
    
    — Bonjour mon chéri, Humm…! Quelle forme ce matin !
    
    Comme à l’habitude, le matin au réveil ; et comme tous les mecs d’ailleurs, je bande ! Et elle s’en aperçoit bien évidemment.
    
    — Bonjour mon Amour, bien dormi ?
    
    — Comme un bébé, et toi ?
    
    — Pareil, tu te lèves, ou tu préfères rester au lit ; je vais t’apporter ton petit-déjeuner et tu le prendras au lit ?
    
    — Je veux bien au lit, mais avant : ...
    ... fais-moi l’amour comme ça, sans préliminaires ; s’il te plaît.
    
    — D’accord !
    
    Alors je m’allonge sur elle, elle ouvre grand ses jambes et je la prends directement sans câlin. Elle est toute mouillée de cyprine et je glisse très facilement en elle.
    
    — Ah ! … ! C’est bon ; vas-y, remplis-moi !
    
    Je la lime très vite, et très vite ; nous arrivons à l’orgasme ensemble. C’est court, mais bon ; nous nous embrassons fougueusement et je me lève.
    
    — Il faudra que tous les matins tu me réveilles de cette façon, sans que j’aie besoin de te le demander, tu veux bien ?
    
    — Avec plaisir, Madame, vos souhaits sont des ordres.
    
    J’ai à peine terminé ma phrase qu’on frappe à la porte.
    
    — Entrez ! ordonne Gladice.
    
    La porte s’ouvre et c’est Jelila qui apparaît en jogging.
    
    — Bonjour les jeunes, je viens voir comme se porte notre malade !
    
    — Bonjour Mamie ! reprend Gladice avec humour. Vois-tu, elle va bien, du moins beaucoup mieux, et toi ?
    
    — Effectivement je vois que tu vas bien. Eh bien tant mieux, et avez-vous petit déjeuné ?
    
    — Bonjour, Jelila ! Non pas encore !
    
    — Dans ce cas, je m’invite ; je suis allé chercher des viennoiseries, ça vous tente ?
    
    — Naturellement, je vais aller tout préparer ; restez donc entre femmes, je propose. Le petit-déjeuner, pour quatre ?
    
    — Non trois, Philippe est déjà parti !
    
    Je file en cuisine et prépare le tout en un rien de temps, de retour dans la chambre je dispose le plateau sur la table qui est restée là depuis hier ; nous ...
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