1. Une surprenante collègue de travail


    Datte: 28/11/2018, Catégories: ffh, fsoumise, Collègues / Travail attache, fsodo, Auteur: Hydrargirum, Source: Revebebe

    ... et me commande de prendre la suite. J’approche un doigt, mais ma collègue s’exclame :
    
    — Avec ta bite, idiot : encule-la !
    
    Ces mots crus m’électrisent et me font rougir. Ma queue est tendue comme jamais. Je l’enfonce dans la chatte gluante et brûlante de ma femme afin de la lubrifier et je la présente à l’entrée de son anus. Je force doucement pour ne pas lui faire trop mal. Hélène gémit un peu plus fort. J’avance millimètre par millimètre ; ma femme a le souffle court. Pour moi, la sensation de son cul serré est extraordinaire. À ce petit jeu-là, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.
    
    De son côté, Nathalie a présenté son sexe rasé à Hélène et lui intime l’ordre de le lécher. Ma femme tord le nez devant ce tableau, mais une claque sur la joue lui donne à réfléchir. C’est sûr, elle en gardera la marque toute la journée. Elle approche sa langue du sexe de ma collègue. Timidement d’abord, puis avec de plus en plus d’avidité. Cette fois-ci, c’est Nathalie qui gémit doucement.
    
    — Ah, quelle cochonne ! On dirait qu’elle a fait ça toute sa vie ; il ...
    ... n’y a qu’une femme pour lécher ainsi !
    
    Un silence ponctué de lapements, de clapotis et d’ahanements s’installe. Je commence à pousser des grognements rauques. C’est le signal. Un trait de feu part de mon bas-ventre. Je me retire de ma femme, et de puissants jets de sperme zèbrent son dos. Je me vide, j’ai l’impression que cela ne va jamais s’arrêter. Nathalie jouit aussi, mais de façon plus mesurée. On dirait que cette situation lui est habituelle. Ma femme a joui également. L’oreiller sur lequel elle est installée est taché de mouille.
    
    Ma collègue est la première à reprendre ses esprits. Elle détache ma femme et va dans la salle de bain se rafraîchir. Je la suis pour me nettoyer également. De retour dans la chambre où ma femme est toujours avachie sur le lit, Nathalie annonce :
    
    — Ce n’est que le début de ta punition. Ce soir, quand nous rentrerons, je veux que le dîner soit prêt ; et un très bon diner, sinon…
    
    Ces quelques mots en suspens sont pleins de menaces, voire de promesses !
    
    J’ai bien peur d’avoir fait entrer le loup dans la bergerie… 
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