Le temps des regrets...
Datte: 26/11/2018,
Catégories:
Hardcore,
Inceste / Tabou
Auteur: tamilboy69, Source: xHamster
... raison. Trop longtemps sevrée, elle basculait dans la fornication pure et simple. Et son Marc, lui non plus n’en pouvait plus. Il avait collé ses lèvres pareilles à deux ventouses sur sa chatte et il la léchait avec avidité. Là sur le bord de leur piscine, la mère et le fils se laissent emporter par un torrent de sensations décuplées.
Cette minette dura de longues minutes et seuls les soupirs de la femme réveillaient la nuit calme. Enfin Marc plongea ces doigts dans cette intimité qu’il avait déjà connue vingt-quatre ans auparavant, pour des motifs plus nobles. Mais là, en cet instant, ni elle ni lui ne discernaient plus le bien du mal. Il ne s’agissait plus que de plaisirs échangés entre un homme et une femme. Des plaisirs bestiaux qui allaient se prolonger jusqu’à l’accomplissement final d’un rite immuable. Le coït devenait inévitable.
Enfin le corps du jeune homme sortit de l’onde et il vint pour continuer la tâche entreprise quelques instants auparavant. Ses doigts, sa bouche, tous participaient à cette fête des sens, à cet outrage qui en d’autres temps leur aurait paru abject. Il se lovait contre le corps de femme qui gémissait là, sur les dalles de la terrasse. Elle n’était plus sa mère, juste et uniquement l’objet de son plus horrible plaisir. Et comme si elle aussi voulait lui donner raison, elle se contorsionnait sans vergogne. Alors lorsque la bouche féminine happa la trique qui battait son flanc depuis trop longtemps, il accentua tous ses ...
... déhanchements.
Dans la nuit les soupirs se mélangeaient, les gémissements s’imbriquaient les uns dans les autres et les cris des deux amants trouvaient un écho favorable dans le ciel sombre. Elle oubliait la bienséance et qu’il s’agissait là du fruit de sa chair. Elle se donnait à corps perdu à cet amant qui lui enlevait toute retenue, toute raison. C’est encore elle, et toujours elle, qui trop avide de ce sexe qui lui faisait défaut avait abrégé sa pipe pour monter sur lui. Elle l’embrassait alors que la queue de Marc entrait en elle et que la gaine humidifiée au maximum lui arrachait des feulements de lion. Les deux amants venaient de dépasser le stade de l’amour familial pour goûter au fruit défendu.
— oooOOooo —
Anna était couchée sur son transat. Sur sa peau nue, les premiers rayons d’un soleil renaissant venaient la lécher de leur chaleur. L’aube avait surpris la mère et le fils dans un accouplement pervers. Ils avaient pris du plaisir, mais les regards qui s’ensuivirent ne seraient plus jamais les mêmes. Faire l’amour avec Anna pour Marc avait comme un relent de pourriture. Elle n’osait plus le regarder. Alors elle s’était éloignée, vers le kiosque, le laissant digérer l’abjection de la situation. Pas plus lui qu’elle n’était à blâmer ! Simplement les circonstances de la vie venaient de leur infliger une vraie blessure.
Désormais Anna devrait vivre avec cela. Quant à Marc, il devrait aussi oublier, si c’était encore possible, que sa mère n’était pas une femme ordinaire. Non ! ...