1. Le temps des regrets...


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Auteur: tamilboy69, Source: xHamster

    ... faisait quatre ans qu’elle conservait ces quarante balais, dans le même état de fraicheur. Juste depuis que l’oiseau avait quitté le nid au bras d’une petite morue blonde. Sans doute que cette petite pute se servait mieux de son cul qu’elle. Il fallait dire aussi qu’au lit, son John n’avait jamais été un foudre de guerre. Anna pourtant s’en était accommodée et aurait continué encore des années.
    
    Le siège posé sous le délicat ombrage qui l’empêcherait de cuire sous les rayons fous d’un soleil d’un vendredi de juillet trop chaud, elle fredonnait. Elle revint vers la piscine distante de deux ou trois mètres. Ses orteils délicats plongèrent dans la flotte et elle la trouva assez chaude pour s’y refroidir un peu. D’un bond, elle plongea alors dans l’onde transparente. Elle se délectait de cette douceur fluide qui entourait son corps bien entretenu. Elle fit quelques aller et retour lents, d’un bord à l’autre avec bonheur.
    
    Elle était seule dans sa grande demeure et personne pour reluquer ce corps bien conservé qui flottait dans une eau d’un bleu profond. La singularité de cette nageuse était qu’elle ne portait aucun vêtement. Nue comme une Ève nautique, elle se prélassait dans le meilleur endroit de la maison en cet après-midi ou les degrés devaient avoisiner les trente-huit. Mais tous les bons moments aussi ont une fin. Alors elle sortit de l’onde pure pour regagner son abri à l’ombre.
    
    Elle déplia un immense drap de bain sur la chaise longue et s’étendit de tout son long ...
    ... dans l’évidente idée de se sécher. Une autre serviette plus petite vint s’enrouler sur le casque brun formé par sa chevelure remplie d’eau. Elle resta un instant en équilibre, mis assise mi couchée, à tordre la nappe chevelue. Puis elle s’étira comme une chatte, bien consciente de la solitude bienveillante qui lui permettait de rester à poil.
    
    La position était bonne et Anna ferma ses paupières. Immanquablement elle allait somnoler ! Enfin… c’était ce qu’elle croyait, car c’était sans compter sur les fantaisies idiotes d’un corps abandonné. Pourquoi à ce moment précis, celui-ci se mit il à lui rappeler que depuis longtemps il souffrait de l’absence de visites ? En clair, elle ressentit un impérieux besoin qui émanait de ce ventre que la bite de Monsieur ne venait plus consulter, et pour cause. Rageusement elle se releva.
    
    Pieds nus sur la terrasse qui séparait le kiosque de la maison, elle sentit que le soleil était aussi chaud que son corps. Elle entra dans la maison par la porte-fenêtre donnant sur le salon. De là, elle gagna sa chambre, ouvrit un tiroir de sa table de nuit et en sortit deux objets bien distincts. Faisant le chemin inverse, elle regagna sa tonnelle. Le transat retrouva les formes de la brune sans crier grâce. Et à nouveau elle s’allongea sur le lit de fortune, prenant ses aises avec volupté.
    
    Son corps n’avait pas oublié non plus son envie et Anna les paupières closes laissa son imagination prendre le dessus. Elle se revoyait avec ce con qui lui avait ...
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