1. Clarisse


    Datte: 26/11/2018, Catégories: fh, fagée, inconnu, fépilée, voyage, bateau, Oral pénétratio, fsodo, portrait, occasion, Auteur: Jeff 2, Source: Revebebe

    ... Je lui proposai une promenade le long des quais du célèbre lac local, et nous voilà marchant tendrement côte à côte. Nos pas nous menaient vers le petit port où je loue un bateau qui me sert de « pied-à-terre ». Elle trouvait la situation cocasse et bigrement scabreuse.
    
    Au pied de la passerelle, je lui proposai un dernier verre et sans hésitation elle grimpa à bord…
    
    L’exiguïté des lieux et le léger balancement du bateau-appartement rapprochaient nos corps. Très vite, peut-être trop vite, nos bouches se sont cherchées. Clarisse avait les lèvres douces et sucrées. Sa langue, fine et pointue, curieuse, se frayait immédiatement un chemin vers ma bouche. Longuement, appuyés contre une paroi de la cabine, nous nous sommes embrassés. Langoureusement, tels deux ados timides qui se découvrent, passionnément, charnellement.
    
    Électrisées par ce long baiser, mes mains ont fini par retrouver leurs usages. D’abord délicatement, elles se sont hasardées le long du dos, montant et descendant soit vers sa nuque fine et nerveuse, soit vers ses fesses souples et charnues. Au travers du textile léger, je sentais la chaleur de la peau, sa moiteur qui envahissait ma main. Sous les premiers frissons de son corps, Clarisse se blottit contre moi comme si elle avait voulu se fondre dans mon corps. Avec une attention soutenue, je m’ingéniai à remonter sa robe et lui mis les fesses à l’air. Sous la pulpe de mes doigts, je découvris une peau satinée, souple, chaude. Seul le rugueux d’une ...
    ... dentelle prisonnière de son milieu m’empêchait d’accéder à son intimité. Et toujours nos langues se querellaient soit dans ma bouche soit dans celle de Clarisse.
    
    Abandonnant le dos, mes mains remontèrent vers les seins de Clarisse qu’elle tenait plaqués fermement contre mon buste. D’un léger recul Clarisse s’en décolla pour permettre à mes doigts de venir explorer sa poitrine, libre de soutien-gorge et qui savait encore se tenir avec arrogance et même une certaine excitation. Elle dardait des pointes durcies par le plaisir qui montait au fur et à mesure. Au travers du tissu, j’éprouvais la masse élastique et chaude, mes doigts allant rapidement pincer et tortiller la pointe que je sentais dure et grenue.
    
    Sous l’aimable torture, Clarisse daigna relâcher ma bouche pour chercher son souffle, fermant les yeux, elle se laissait lutiner tout en ressentant les premières ondes de plaisir lui électriser le corps. Enfin, elle s’abandonna. Avec une certaine maestria, Clarisse, sans disjoindre sa bouche de la mienne, sans trop s’éloigner de mon corps ni échapper aux caresses que je lui distillais, lâcha sa robe qui s’affala à ses pieds… Elle me présentait maintenant son corps, nu, cachant juste son intimité par un string noir qui fut roulé en un tour de main pour rejoindre le plancher. Maintenant, Clarisse était nue, offerte à mes caresses et je n’allais pas me priver de la titiller longuement, au moins jusqu’au moment où elle crierait « grâce ! »
    
    Et mes mains prenaient des formes ...
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