Jeter son bonnet par-dessus les moulins
Datte: 26/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
jeunes,
couple,
poilu(e)s,
vacances,
plage,
bain,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
échange,
amiamour,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... des adultes consentants et responsables ? Tu ne m’as pas violé non plus.
— Certes, mais à présent, que nous avons baisé ainsi, je serais incapable de tenter un flirt avec toi. Enfin, je veux dire partir sur de nouvelles bases pour relation qui rentre de façon moins tonitruante dans le vif du sujet.
— Et pourquoi ne le pourrais-tu pas ?
— Que suis-je pour toi ? Un véritable obsédé qui se complaît dans des plans culs sans lendemain. C’est une image qui est pourtant très loin de moi et depuis que je t’ai rencontrée, je me dis que jamais tu ne voudras suivre un bout de chemin avec moi… Un bout de chemin de couple, sans libertinage, sans perversion d’aucune sorte.
Je suis éblouie par ce discours, car pour ma part, après ce que nous venions de vivre, je ne vois pas la possibilité de connaître avec cet homme que j’appréciais, une histoire d’amour normale et stable. Car moi aussi, je ne lui ai pas présenté l’image d’une femme respectable.
— Peut-être es-tu un obsédé. Mais un obsédé qui fait très bien l’amour et qui a une queue qui est très à mon goût. Mais en te disant cela, je casse l’image de femme réservée que tu recherches. Comment me considères-tu ? Certainement comme une femme volage, inconsistante et qui recherche comme Nina des plans cul ?
— Non, certainement pas. Je t’ai bien observée durant la soirée, avant que nous partagions le même lit, tu n’es pas comme Nina.
— J’ai envie de te suivre, lui dis-je.
— Serait-ce possible ?
— Oui, j’en ai envie. Vous savez, je ...
... ne couche pas le premier soir habituellement, mais comme nous avons pris un peu d’avance, rien ne sert de perdre du temps. Qu’en pensez-vous ?
— Ça me va très bien. J’habite à deux pas, mais si tu préfères que ce soit chez toi.
— Le plus près sera le mieux.
J’ai envie de lui, j’ai envie qu’on fasse l’amour tous les deux, sans tierce personne. Dans l’ascenseur, il m’embrasse avec passion, déjà nos mains cherchent nos corps, les siennes sous mon chemisier, les miennes sur ses fesses. Dans son appartement, nous sommes à moitié nus et mes yeux se posent sur le renflement de son pantalon et je repense au beau sexe que j’avais déjà découvert. Il met une main entre mes jambes et me masse la chatte à travers les vêtements, je réprime un frisson, puis ses doigts viennent masser mon pubis en contournant mon slip. Lorsqu’il m’entraîne vers la chambre, je le suis en m’élançant. Je sens que je commence à mouiller.
Il me déshabille avec fébrilité. Je me donne à lui, je le laisse caresser mon corps au fur et à mesure que les pièces de tissu viennent s’échouer sur le sol. Ma veste, ma jupe, ma chemise et me voilà en sous-vêtement assez sexy. Depuis mon divorce, j’ai totalement renouvelé ma garde-robe de sous-vêtements, lesAubade s’étant substitués auxPetit-Bateau ouDamart. Je porte donc un ensemble sexy de deux pièces en dentelles et voilages, le soutien-gorge dont les bonnets laissent apparaître par transparence mes mamelons et un string assorti translucide devant et à l’arrière une ...