1. Jeter son bonnet par-dessus les moulins


    Datte: 26/11/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, couple, poilu(e)s, vacances, plage, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, échange, amiamour, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent : «Le pain du ménage »Julia s’est séparée de son mari avec lequel elle n’a jamais ressenti de plaisir. William, amant de passage, l’a fait jouir. Elle apprécie également les doux moments passés dans les bras de sa copine et confidente, Nina.
    
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    À partir du moment où William me fait découvrir la jouissance avec un homme, je repousse tous les interdits qui avaient bloqué ma vie. Je jette mon bonnet par-dessus les moulins. Je prends des amants (un à la fois) dans le seul but qu’ils me fassent jouir. Le succès n’est pas toujours au rendez-vous, mais comme ces aventures sont toujours à titre provisoire, certains de mes partenaires font, dans ma vie, des passages plus éclairs que d’autres.
    
    Trois options s’offrent à moi. Premièrement, prendre mon mal en patience et attendre de trouver la perle rare, mais j’estime avoir déjà trop perdu de temps et ne souhaite pas rester en jachère. Deuxièmement, me servir de sextoys, vibrants ou non. Cependant ils ne produisent que bien peu d’effet sur moi. Oui, j’ai essayé. Non, le réel contact physique, le corps à corps, un membre chaud et palpitant entrant en moi, ce sont des sources de plaisir dont je sais ne plus pouvoir me passer. Troisièmement, prendre un « copain de baise » ou en anglais« sexfriend » ou« fuck-buddy » pour me satisfaire sexuellement et ponctuellement sans avoir à partager de sentiments amoureux. Ainsi ai-je toujours à portée de la main un mâle prêt ...
    ... à rendre service et à satisfaire ma libido.
    
    Mon « copain de baise », Franck avec qui j’ai consommé de magnifiques moments durant plus d’un an, n’est ni gigolo, ni un prostitué. Il n’y a aucune rémunération, ni directe, ni indirecte, dans un sens comme dans un autre. Aucun cadeau, jamais de fleurs. Lorsque nous dînons ensemble, nous partageons l’addition, de même lorsque nous prenons une chambre d’hôtel, nous réglons moitié-moitié.
    
    La première fois où nous faisons l’amour, c’est un feu d’artifice. Franck est pleinement satisfait de ma réceptivité autant que je le suis de sa prestation. Nous renouvelons plusieurs fois ces moments, voire ces nuits, torrides. C’est lui qui me propose le système de « copain-copine de baise » : baiser sans attache et sans obligation. J’accepte tout de suite et, dès cet instant, je me sens encore plus libérée, totalement à l’aise avec lui pour tenter des positions acrobatiques, des jeux incongrus, des postures particulièrement impudiques et obscènes. Avec Franck, il n’y a rien d’avilissant dans le sexe, la seule condition étant que lui comme moi devons y trouver du plaisir. Lorsque nous en avons envie, un coup de fil et on se retrouve chez lui, chez moi ou dans un hôtel. Dès que je le vois, j’ai envie de son corps et lorsqu’il est nu devant moi, c’est son sexe que je veux faire grossir avec mes mains, ma bouche et ma langue. J’aime lui lécher le cul, venir fouiller son anus avec un ou deux doigts, jusqu’à atteindre la prostate, ce qui le fait ...
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