1. Jeter son bonnet par-dessus les moulins


    Datte: 26/11/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, couple, poilu(e)s, vacances, plage, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, échange, amiamour, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... commun tout en dévoilant son anatomie intime. Si on exclut la nudité proprement dite, ce qui frappe, c’est que tout le monde se retrouve sur un pied d’égalité, il est impossible de tricher.
    
    Le soir, de retour à la plage textile, je suis surprise par l’excitation et le bruit qui y règne. Alors je me dis :« J’ai vraiment bien fait de marcher jusqu’à cet endroit, d’avoir enlevé le haut et le bas. C’est bien peu de chose en fin de compte pour trouver le calme et la sérénité. »
    
    Dès le lendemain, je décide de retourner à la plage naturiste. Là, je n’éprouve plus aucune gêne ni trouble au moment de retirer mon maillot. Au contraire, je suis sereine, bien dans ma tête et mon corps. Le couple que j’ai vu la veille n’est plus là, par contre le groupe de jeunes est bien présent. Je bronze, vais me baigner, rejoins ma serviette sans gêne, puis m’enduis de crème solaire sans même me rendre compte que j’offre à certains regards l’image d’une femme se masturbant lorsque je malaxe mes seins ou remonte les mains entre mes cuisses jusqu’à mes lèvres vaginales. À un moment, une des filles du petit groupe se dirige vers moi et me demande :
    
    — Vous voulez que je vous étale de la crème dans le dos ?
    — Euh, oui, pourquoi pas.
    — Je m’appelle Maëva, dit-elle.
    — Moi, c’est Julia.
    
    Elle doit avoir une vingtaine d’années, avec d’agréables formes, dont deux beaux seins tout en rondeur, sans être boulotte. Sa chevelure brune est coupée court, son visage et son corps sont légèrement mats. Je ...
    ... remarque que sa chatte est finement taillée entre la coupe brésilienne et le ticket de métro. Je me place sur le ventre et elle commence à m’enduire le dos de crème. Elle se place à califourchon au-dessus de moi. J’imagine sa vulve qui s’ouvre, alors que les poils sauvegardés ne peuvent pas dissimuler son coquillage. J’ai remarqué d’ailleurs qu’elle ne s’embarrasse pas de resserrer les jambes lorsqu’elle est au milieu de ses amis, les filles comme les garçons peuvent et ne se privent pas de profiter du spectacle. Elle fait couler de l’huile solaire sur mon dos et commence à m’enduire. Ses mains, tout en étalant la lotion me prodiguent un massage très agréable et relaxant. Lorsqu’elle arrive à mes lombaires, sans hésiter, ne montrant aucune gêne, elle m’enduit les fesses. Il s’agit presque d’une caresse même si l’attouchement est ferme. Puis elle continue en parcourant les cuisses en descendant jusqu’aux genoux pour remonter sur la face interne jusqu’à l’aine.
    
    «Voit-elle ma moule ? D’autant plus que je crois que je mouille. Que va-t-elle penser de moi ? »
    
    Elle m’écarte un peu les jambes. Je me laisse faire. Je jette un coup d’œil vers ses amis, qui font semblant de se désintéresser de nous, mais qui finalement ne manquent rien du spectacle. Lorsqu’elle arrive à mes pieds, j’ai presque envie qu’elle continue.
    
    — Merci beaucoup, lui dis-je après un petit silence.
    — C’est normal, il serait malheureux que vous ayez un coup de soleil sur les fesses.
    — Oui, elles sont très ...
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