1. Jeter son bonnet par-dessus les moulins


    Datte: 26/11/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, couple, poilu(e)s, vacances, plage, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, échange, amiamour, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... attirant avec son pieu à présent au repos mais d’où il émane toujours une force virile, une assurance de jouissance. Je reste étendue sur le lit, les bras en croix, les jambes écartées, le sexe ouvert. J’ai encore envie de lui, mais il était trop tard. Alors qu’il va sortir de chez moi. Je me jette sur lui et l’embrasse fougueusement. Il se laisse faire et me rend mon baiser, mêlant nos salives. Puis, je prends sur moi-même pour dire :
    
    — Merci, j’ai beaucoup aimé faire l’amour avec toi, j’ai pris beaucoup de plaisir. À présent, va, on t’attend.
    
    Finalement, de « copain de baise », Franck est devenu « copain » tout court. Je le revois de temps à autre en compagnie de sa femme, une charmante jeune femme qui est beaucoup plus jeune que lui et qu’il a dû débourrer comme une jeune pouliche, puis dresser à sa main.
    
    Tout en ayant des relations sexuelles avec Franck, il m’arrivait de prendre un autre amant. La plupart du temps, il s’agit de fréquentations moins torrides et plus conventionnelles. Je me montre comme une femme raisonnable et réservée. L’homme doit me séduire, me conquérir, m’apprivoiser. Cela passe par des invitations, des lettres, des cadeaux, des fleurs, de petites attentions. Je ne couche jamais le premier soir, même si le partenaire me plaît beaucoup. Je joue un jeu subtil, paraître ne rien donner, tout en en donnant suffisamment pour retenir le galant qui veut connaître l’étape suivante. Lorsque je finis par baisser la garde, que j’accepte les avances de ...
    ... l’homme et que je fais l’amour avec lui, il croit être arrivé à ses fins alors qu’en définitive, c’est moi qui l’ai tenu dans le creux de ma main. Lorsque je découvre sa queue dressée de désir, là encore la satisfaction est grande. Et, lorsqu’après le travail, elle perd toute vigueur, le sexe fort ce n’est plus l’homme, mais la femme. Dans les ébats que je partage avec lui, je ne fais jamais paraître le feu qui peut jaillir sous ma glace apparente.
    
    L’été venu, je vais chez des amis sur le bord de l’Atlantique. Je me rends à la plage avec eux et leurs enfants, un garçon et une fille adolescents. Je me plie aux usages de ces personnes quant à leur tenue de plage, c’est-à-dire un bikini pour les femmes. Dans le cadre de ma transformation personnelle, j’aurais aimé prendre quelques libertés en bronzant topless, mais j’ai senti que mon amie, d’une part ne me suivrait pas, d’autre part verrait d’un mauvais œil que je me dénude partiellement devant ses enfants.
    
    — Quand je vois des nanas à moitié à poil, dit-elle, ça me hérisse le poil. On essaie d’éduquer nos enfants dans la morale et ils sont exposés à ces indécences inadmissibles.
    
    Au bout de deux jours, je décide de m’écarter du dogme pudibond familial en prétextant une déambulation sur la plage. Je me dis que sur la grève, je trouverai un endroit où personne ne dirait rien à ce que je quitte le haut. Je me mets donc à marcher et ne suis pas longue à voir apparaître des seins dénudés côtoyant d’autres encore dissimulés aux ...
«1234...12»