1. Carole


    Datte: 26/11/2018, Catégories: fh, inconnu, préservati, pénétratio, fsodo, fouetfesse, Auteur: Resonance, Source: Revebebe

    ... ne traversait pas trop les murs.
    
    Puis je visai soigneusement ma cible, à travers le jean.
    
    J’avais passé quelques heures durant le week-end pour m’entraîner, à la fois en précision et en force, en utilisant des cartons, des coussins et des vieux vêtements pour cible. J’en avais déduit qu’il n’était guère possible de l’utiliser sur une peau nue, un peu trop de force et un carton se coupait en deux… Par contre à travers la toile d’un jean cela semblait faisable, avec une bonne marge d’erreur. Cela devait faire très mal, mais ne laisserait pas de trace durable – du moins, je l’espérais.
    
    Carole poussa un petit cri, mais ne bougea pas. Sans me presser, j’administrais neuf autres coups, répartis aussi équitablement que possible sur ses cuisses et ses fesses. J’avais décidé que dix serait raisonnable.
    
    — Mets-toi à genoux.
    
    Je me déboutonnai, m’emparais de sa bouche. Je la regardai attentivement pendant qu’elle s’activait, et je réalisai qu’elle prenait effectivement un plaisir réel à sa tâche, concentrée, les yeux tour à tour fermés, ou me regardant.
    
    Après m’avoir fait jouir, elle resta à genoux, attendant.
    
    — Baisse ton jean, remets-toi à plat ventre sur le bureau.
    
    Elle frémit, mais à mon étonnement obéit sans rien dire, sans autre commentaire sur les marques sur sa peau.
    
    Je fis siffler et claquer le fouet… puis la frappai. Cependant, je ne tenais pas celui-ci par le manche, mais par la lanière, laissant seulement une trentaine de centimètres libres. ...
    ... J’avais testé sur ma propre peau, cela faisait mal, mais sans vrais dégâts.
    
    Elle reçut ses dix coups.
    
    — Remonte ton pull…
    
    Je la frappai sur son dos nu.
    
    Elle était maintenant couverte de très jolies striures rouges sur presque tout son corps. J’espérais vaguement qu’elles ne dureraient pas, mais ce souci tendait à passer à l’arrière-plan. Son obéissance me stimulait, et j’étais à nouveau dur de désir.
    
    J’enfilai un préservatif, la pénétrai, la trouvant trempée – sans surprise. Je ne perdis pas de temps, remontai plus haut, m’enfonçai entre ses fesses. Je la voulais totalement mienne, la maintenant fermement aux épaules tout en la martelant lentement, fortement.
    
    Je sentis son corps réagir, le plaisir submergeait la douleur chez elle, son corps s’arquait, tentant de retrouver son propre mouvement, rétif sous le rythme que je lui imposais. Je sentis pourtant aux palpitations de sa chair que son plaisir approchait.
    
    Son cri, les pulsations trahirent son orgasme, avant que je jouisse à mon tour.
    
    Nous sommes restés longtemps l’un contre l’autre. J’avais une main dans ses cheveux, l’autre caressant doucement les légers bourrelets de la chair sous les striures de sa peau. J’étais revenu à la réalité et me demandais avec un peu de remords combien d’heures il faudrait pour qu’ils disparaissent.
    
    Il nous fallut un effort pour nous séparer, nous rhabiller en silence.
    
    Juste avant que nous ne sortions du bâtiment, quelques minutes plus tard, elle me prit brièvement pas ...
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