Si par des nuits diverses, un fourrageur
Datte: 26/11/2018,
Catégories:
h,
fh,
hagé,
fagée,
jeunes,
couple,
Collègues / Travail
plage,
train,
bateau,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
massage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
tutu,
lettre,
mélo,
nostalgie,
portrait,
Auteur: David Blonfali, Source: Revebebe
... délicieusement avec la fraîcheur humide des pierres attentistes. Les tourbillons impétueux s’amortirent pour ne laisser s’échapper au dehors qu’un long feulement féminin.
L’énorme piston latéral poursuivait ses aller-retours fous, harcelé par la vapeur brûlante qu’on lui assénait. À chacune de ces longues lampées appuyées il se détendait puissamment. Jouant de toute sa course, il s’enfonçait longuement avant de se rétracter, préparant l’assaut suivant. La totalité des wagons avait franchi l’ouverture béante. Le train possédait à présent de tout son long la Joncherette.
Débridé il explorait à tout rompre les profondeurs intestines du souterrain. L’intimité enfouie se retrouvait en un instant assaillie d’intenses vibrations, mise à nue, labourée. Paul goûta avec volupté à ce viol aveugle.
Soudain, le jour. Eclatant de lumière surdosée. Le tunnel était passé, le plaisir du plongeon sauvage dans des entrailles secrètes était déjà loin. Paul repensa à cette jolie voyageuse à la toilette raffinée qui était montée dans le train à Nîmes. Elle était certainement la secrétaire de ce riche homme d’affaire qui l’accompagnait. Mais ce dernier, par quelques gestes un peu trop familiers, avait attiré l’attention sur lui. N’était-il vraiment que le patron de cette belle jeune femme ? Lorsque Paul tentait d’imaginer ce qui pouvait bien se passer dans son train, dans les cabines ouatées et molletonnées de première classe, il se retrouvait inondé d’idées salaces.
Paul voyait juste. ...
... Si le compartiment de Louis Du Perret était secoué, ça n’était pas dû uniquement aux imperfections des rails ou aux ruades de la locomotive. Marcelle Leblond en sa qualité de secrétaire de direction de la « Raffinerie Du Perret » recevait ses hommages chaleureux.
L’épaisseur de la moquette et des coussins n’enlevait rien à l’exiguïté de leur espace privé. Un genou sur la banquette, l’autre pied reposant par terre, son buste était couché sur la tablette placée contre la vitre. À chaque coup de reins, son front venait rebondir contre la vitre. Les rideaux avaient été tirés mais son nez glissait juste au-dessous. Ainsi, alors que la verge raide de monsieur le Directeur Du Perret lui fouillait le sexe, elle pouvait voir la campagne défiler.
Louis abusait trop de la chère durant les repas et ses joues violacées indiquaient que bientôt il manquerait d’oxygène. Les années d’excès avaient tartiné son corps de graisse. Son ventre plastronneur lui cachait le sexe, ainsi il ne pouvait jouir du spectacle tout à fait.
S’il pouvait voir les mains blanches accrochées de chaque côté de la table, la coiffure en partie défaite et la robe relevée de Marcelle, en revanche il n’apercevait que le début de son joli derrière rond. Malheureusement ses yeux ne pouvaient se délecter de la vue de la jeune chatte, ornée d’une toison presque aussi blonde que ses cheveux et de lèvres rose clair, qui restaient charmantes même écartées par un phallus plein et rageur. Louis profita du passage dans le ...