1. A la merci de mon beau-frère Ch. 01


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... belle-soeur ... Ca fait un bon moment que je me demande comment ils sont! .....Ils ne sont pas trop gros, juste la bonne taille ... De plus tu as les plus gros mamelons que j'ai vu depuis longtemps....."
    
    Je recommençais à me débattre, pleurant et criant à l'aide. Il se contenta de rire et recommença à m'embrasser la poitrine, mordillant et étirant les tétons. Quoi qu'il soit particulièrement grossier je ressentais un frémissement, comme une onde annonciatrice de plaisirs, il m'était très difficile d'y résister.
    
    Me prenant par surprise, il se retourna soudainement s'agenouillant au dessus de moi, il avait la tête entre mes cuisses et la bite devant mon visage, elle était sensiblement différente de celle de Jean, plus courte mais plus épaisse, d'un brun plus prononcé.
    
    A la pensée qu'il allait plonger en moi, un frisson me secoua provoquant une forte émission de secrétions qui engluèrent ma chatte, l'instant d'après je me raidissais, sa bouche frôlait ma foufoune, il avait les mains posée sur mes cuisses me forçant à les garder grandes ouvertes, me maintenant totalement à sa merci.
    
    Il ne montrait aucune miséricorde, et comme tout à l'heure il utilisait impitoyablement sa langue explorant ma bouche puis mignotant mes tétons, il fouillait mes replis intimes, je me tortillais sur le lit mais je ne savais plus si c'était de peur ou de plaisir.
    
    Une intense onde de plaisir me submergea et mon corps succomba à un puissant orgasme, un torrent de plaisir que je n'avais ...
    ... jamais connu. J'étais vaseuse lorsqu'il a cessé, mais Yan n'en avait pas fini avec moi.
    
    Il se retourna vivement, et m'agrippant aux hanches, il enfonça violemment sa queue dans ma moule. Je ne vois pas comment décrire cette sensation. Il semblait me combler et m'élargir, Je pouvais le sentir palpiter dans mon ventre et les frissons se répercutant en écho partout dans mon corps, il commença à me labourer vigoureusement s'enfonçant chaque fois un peu plus profondément dans mon tunnel d'amour, je sentais poindre un autre orgasme tandis qu'il haussait le rythme, et je jouis, dos arqué sur le matelas, j'étais consciente qu'il vomissait son sperme au fin fond de mon utérus
    
    Il s'écroula sur mon torse, nos deux corps tremblants de concert, puis il finit par se relever et quitta la pièce m'abandonnant étendu sur le lit.
    
    Lorsqu'il partit au bureau, je pris une longue douche et je changeais les draps, j'essayais d'oublier ce qui m'était arrivé, mais des frissons résiduels m'en empêchait Je savais que je ne dirai rien à personne que ce soit à mon mari ou à la police.
    
    Je n'avais aucune preuve et j'avais bien trop peur que Jean ne me demande jusqu'à quel point il m'avait forcée, j'étais incapable de dénier avoir pris du plaisir à me faire baiser par mon beau-frère, aussi je me comportais comme si rien ne s'était passé, jusqu'à ce soir..
    
    Jean avait une autre conférence le lendemain matin et Yan me chuchota à l'oreille :
    
    - "Je viendrai te rejoindre demain matin, très tôt, j'en ...