1. A la merci de mon beau-frère Ch. 01


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    Pour comprendre mon embarras, il faut savoir un chose : j'aime profondément mon mari. Je ferai n'importe quoi pour le rendre heureux, nous formons un couple heureux depuis 6 ans déjà.
    
    Jean, mon mari dirige sa propre entreprise, il a engagé récemment son frère aîné Yan qui vivait au Danemark, avec sa petite amie, ces trois dernières années, mais il avait décidé de revenir en Angleterre.
    
    Jean adorait son frère et lui avait aussitôt offert un poste et notre chambre d'ami. C'est la première fois que je rencontrais Yan, il semblait de compagnie agréable.
    
    Incontestablement ils se ressemblaient fortement, cependant , Jean était plutôt franc et ouvert, alors que Yan s'avérait cruel et sournois.
    
    Quoiqu'il en soit, ils bossaient de concert, bien qu'ils n'aient pas les mêmes horaires.
    
    L'un de leur principal client demeurait dans la ville voisine, à une heure de route, il aimait avoir une réunion le matin ou le soir, mais chaque semaine. Cela impliquait q'une fois par semaine; mon mari quittait le domicile à 7 heures du matin, ou rentrait vers 20 heures.
    
    C'était le cas hier matin, il s'était levé de bonne heure, il avait essayé de s'habiller silencieusement mais, comme d'habitude, j'étais déjà réveillée. Lorsqu'il s'en rendit compte il revint m'embrasser et revint au lit pour une petite séance amoureuse. C'était justement la seule chose qui n'était pas parfaite, pour quelque raison que ce soit, mon mari ne me faisait pas orgasmer, nous avions essayé différentes ...
    ... méthodes, mais nous avions fini par nous y résigner.
    
    Parfois il me conseille d'utiliser un vibromasseur, ou bien il me regarde me masturber, mais nous avons du nous résigner au fait qu'il ne puisse me mener à l'orgasme. Je n'y fais plus attention me contentant de lui dispenser du plaisir. Dès que Jean me quittait, je prenais mon vibromasseur et je me donnais du plaisir.
    
    Nous essayons de ne pas être trop bruyant de façon à ne pas incommoder Yan, mais il ne disait jamais rien.
    
    J'étais encore couchée, lorsqu'un courant d'air me prévint que quelqu'un se glissait dans mes draps. Pendant un instant j'ai pensé qu'il s'agissait de Jean qui était revenu pour une raison quelconque, mais lorsque je roulais sur le flanc me tournant vers lui je vis, dans le demi-jour du aux rideaux, que c'était Yan qui s'était allongé dans le lit, à mes cotés.
    
    J'étais encore somnolente et avant que je puisse dire quoi que ce soit, il s'étendait sur moi, le contact de sa peau nue sur la mienne m'amena à comprendre rapidement la situation, et j'essayais de le repousser.
    
    Il me sourit ironiquement, et il m'agrippa aux épaules, me laissant me débattre en vain, son poids m'enfonçait dans le matelas et je ne pouvais pas bouger, pire que ça, plus je me tortillais, plus je prenais conscience de sa virilité.
    
    - "Que me fais-tu là?
    
    - "Cette question est stupide ... Que penses-tu que je fasse?"
    
    - "Je suis un bon paillard et j'en ai marre de ne rien avoir à me mettre sous la dent .....Je veux un bon ...
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