1. Drames, enquête et fiançailles


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, bizarre, hotel, amour, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, mélo, policier, fantastiqu, sorcelleri, fantastiq, prememois, initfh, Auteur: Musea, Source: Revebebe

    ... du corps de son amant de manière si intense que son ventre lui faisait mal.
    
    — Claire…
    — Oui ?
    — Je te désire aussi très fort. Si je n’étais pas blessé, et si hier tu n’avais pas été… Je ne pourrais pas résister. Marie avait raison de me donner son eau. Je ne sais pas si la magie renforce notre passion mais… je te laisse deviner l’état où je me trouve.
    
    Claire rougit, et plus encore lorsque Louis lui prit la main et la guida jusqu’à son membre turgescent.
    
    — N’aie pas peur. Je veux juste que tu comprennes le désir que j’éprouve pour toi. C’est un état très agréable lorsque la femme que l’on aime est près de soi et qu’elle est dans un désir similaire… Caresse-le ! Ressens sa douceur et sa fermeté contre ta paume. Apprivoise mon désir de toi… Oui… comme cela… tu sens comme tes caresses lui font du bien ? Tu sens comme je te désire fort ?
    
    Claire émue, retira sa main. Elle était tremblante d’avoir senti palpiter, au creux de sa paume, le sexe de l’homme qu’elle aimait. Elle comprenait le désir de Louis, ressentait le sien et avait peur de chavirer. Louis caressa ses cheveux et murmura :
    
    — Merci, ma belle ! Merci de ta confiance.
    
    Claire releva la tête vers lui et le trouble qu’il lut dans ses yeux l’emplit de bonheur. Il était signe qu’elle serait bientôt une amante aussi passionnée qu’il le souhaitait. Et pour achever de la troubler tout à fait, il fit glisser sa main de ses épaules à ses hanches avant de descendre à ses cuisses, remonter de la paume le coton ...
    ... fin de la combinaison pour caresser doucement, peau à peau, les fesses rondes de la jeune femme. Un gémissement de volupté échappa à Claire lorsque la main de l’homme glissa à la naissance de ses cuisses et il la sentit frémir, tel un feuillage agité par la brise.
    
    — Ta peau est douce, aussi douce qu’une pêche. Et si mes doigts s’aventuraient un peu, je suis sûr qu’ils rencontreraient une rosée… une rosée onctueuse comme un nectar… L’expression du désir que tu as de moi.
    — Louis…
    — Je ne ferai rien qui puisse te faire peur, te rappeler hier… Je t’aime tant, mon amour, dit-il en l’enlaçant plus étroitement.
    
    Un baiser. Puis un autre. Une douce chaleur filtrait par les volets de bois sur la couverture de laine qui les enveloppait. Cette présence solaire se communiquait à leurs corps, blottis, éperdus. Un moment, leurs yeux se prirent et les caresses de Louis, un instant suspendues, recommencèrent avec une douceur apaisante qui apprivoisait le corps de Claire.
    
    Peu à peu, les mains de Louis dessinèrent un chemin jusqu’à son intimité sans qu’elle s’en défende. Son souffle s’était juste un peu plus avivé au gré du plaisir qu’elle découvrait. La bouche du luthier recueillait les gémissements et les soupirs de la jeune fille, et les accompagnait de baisers et de paroles tendres. Sa main gauche enlaçait les reins de Claire tandis que sa main droite partait à la rencontre du velours des cuisses et de la douce fourrure humide du sexe. Lorsque ses doigts trouvèrent la fourche ...
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