1. L'orgasme anal


    Datte: 25/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Quintessence2017, Source: Hds

    Il y a peu, je vous racontais que je m'étais engagé dans une relation d'appartenance totale avec un Maître : Gabriel.
    
    Dans le récit en question, j'expliquais que, pour me maintenir en état de constante excitation et, par conséquent, toujours prêt à servir, Gabriel m'a posé une cage de chasteté.
    
    Depuis, ma vie est rythmée par le sexe. Gabriel, lui, n'a aucun souci de libido, au contraire, il peut jouir plusieurs fois dans la même journée sans aucun problème.
    
    Comme je l'expliquais dans mon dernier récit, pour des raisons d'hygiène, ce dernier m'autorise à jouir environ une fois par semaine, après quoi je dois aller me nettoyer et il me remet aussitôt en cage.
    
    Il se trouve que la semaine dernière, Gabriel a "oublié" de m'autoriser cet orgasme hebdomadaire. Bien éduqué, je n'ai fait aucune allusion à cet oubli, bien que je gage qu'il s'agissait d'une omission volontaire de sa part.
    
    Bref, n'ayant pas pu être "soulagé", le désir s'est accumulé pendant une semaine de plus que de coutume. Le résultat a été le suivant : chaque parcelle de mon esprit était occupé par le sexe. À chaque instant, j'étais prêt à supplier Gabriel pour qu'il me baise. Le moindre effleurement de mes seins ou de mon cul électrisait l'ensemble de mon corps, et faisait instantanément durcir mon sexe qui se trouvait alors bien à l'étroit dans sa prison.
    
    Après deux semaines sans jouir, j'étais devenu ni plus ni moins qu'une véritable "lope", comme disent bien grossièrement les initiés.
    
    Le ...
    ... dimanche, chez Gabriel, c'est jour de ménage. Après lui avoir amené son petit-déjeuner au lit, j'attends qu'il me remette mon équipement pour cette tâche : un plug dans l'anus et des pinces sur les seins - il aime beaucoup voir la chaînette qui relie les pinces balloter de droite à gauche quand je me démène pour frotter une tâche récalcitrante, ou le petit bouton qui ressort entre mes fesses lorsque, consciencieusement, je me cambre pour récurer le sol.
    
    En règle générale, lorsqu'il considère que tout est impeccablement propre, Gabriel me baise pour me récompenser.
    
    Cette semaine, les choses se sont déroulées légèrement différemment. Après son petit-déjeuner, Gabriel m'a ordonné de le sucer.
    
    Ni une, ni deux, j'ai obéi.
    
    D'habitude, lorsque je le suce le dimanche, Gabriel m'arrête avant de jouir, afin de garder toutes ses forces pour me récompenser d'avoir fait le ménage correctement.
    
    Cette semaine pourtant, il m'a fait continuer jusqu'à se vider dans ma bouche. Il m'a ensuite fait avaler.
    
    Inutile de préciser qu'après deux semaines sans jouir, j'étais légèrement à fleur de peau, et que cette absence de concession de sa part m'a plongé dans l'incompréhension la plus totale. J'étais pourtant bien loin de me douter que c'était en fait une immense faveur qu'il me faisait.
    
    Pendant le ménage, tout était motif à l'excitation la plus totale et faisait frémir mon sexe dans sa cage. Les quelques claques au fessier dont il m'a gratifié au moindre écart ont manqué de me ...
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