1. Mon Apocalypse à Moi 14


    Datte: 11/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... ravi. Avec son air toujours content et ses cheveux poivre et sel à présent qu'elle ne se teintait plus, j'en arrivais à oublier qu'elle restait une femme, avec des désirs inassouvis. Elle me précéda avec des regards par dessus son épaule dans l'escalier. À peine arrivés dans la chambre, elle me prit en bouche et lorsque mon sexe fut bandé, elle se plaça au bord du lit et écarta largement ses cuisses grasses, dévoilant sa toison abondante et désordonnée. J'écartais sa pilosité pour la pénétrer et peu après, elle criait son plaisir. Sur une impulsion de moi, elle se plaça les fesses en arrière, le visage sur le matelas et ses longs cheveux noirs et blancs en étoile autour d'elle. Je lui pris l'anus doucement, tandis qu'un long râle extatique lui échappait. La sensation était bonne. C'était plus large que sa fille mais moins offert que Maman. C'était bon, juste ma taille. Je la pistonnais un long moment, jusqu'à ce qu'elle prit un plaisir qu'elle qualifiait de "sale." Cette capacité à jouir du cul lui faisait honte, bizarrement. Aussi veillais je à lui donner un orgasme anal à chaque fois. Je l'avais prise et elle tourna vers moi son corps massif.
    
    -Je vais vous nettoyer. Dit elle.
    
    Elle fit son office, puis me regarda.
    
    -Vous avez encore envie?
    
    -Je ne reconstitue pas les réserves aussi vite. Répondis-je.
    
    -Pas de ça.
    
    Je compris. J'avançais mon sexe ...
    ... flasque jusqu'à ses lèvres. Elle ajusta sa bouche. Je lui inondait la gorge, et elle but mon urine avec un frémissement.
    
    -Merci, dit-elle. Vous ne me le faites jamais.
    
    Je hochais la tête. Voilà la vraie soumission, ne pas subir un traitement dégradant était vécu comme une punition. Au coeur de la nuit, je me réveillais. J'écoutais le silence de la maison quelques instants. Le détecteur de mouvement dans la plaine ne détectait rien. C'était juste un rêve confus qui m'avait tiré des bras de Morphée. Maria dormait sur le côté, me présentant son large fessier, un peu tombant. Je hasardais un doigt et sentit le trou du cul dans son petit nid de poils. Je mis quelques gouttes d'huile sur mon index et mon majeur. J'entendis la respiration de Maria changer. Elle ne dormait plus, mais restait passive. Mes deux doigts entrecroisés explorèrent son rectum. Je repliais un peu ses jambes et la pénétrais doucement. Elle émit un soupir, mais ne bougeait pas. Je commençais mes va-et-vient dans son trou passif. Je lui arrosais le colon, puis m'essuyais sur sa cuisse. Et me rendormit. Au matin, une sensation humide me tira délicieusement du sommeil. Maria me suçait. Je la laissais ingérer mon sperme. Elle se leva. -Vous me baisez bien. Commenta -t'elle.
    
    J'acquiesçais.
    
    -J'aime t'enculer. Tu aimes ça aussi.
    
    -Oui. Répondit-elle en rougissant de honte.
    
    Je me levais en ricanant. 
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