1. Mon Apocalypse à Moi 14


    Datte: 11/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... je rentrais. Maman et Maria préparaient le petit déjeuner et une bonne odeur de café et de petits pains chauds s'élevait dans la pièce. Suzy fila vers sa gamelle. Je m'assis en bout de table, et tout le monde me rejoignit. Maria et Katia disparurent dans l'escalier peu après. Dix minutes plus tard, Sara fit son entrée. Elle portait un filet de laine, qui la laissait voir, surtout que des boucles soutenaient ses seins. Au lieu de son habituelle culotte de coton, elle portait un string blanc bordé de dentelles, avec un porte jarretelles blanc et des bas fins de même couleur. Son maquillage était discret, simplement ses lèvres étaient peintes de rose et un discret fard à paupières d'un ton plus soutenu illuminait ses yeux. Elle sourit timidement.
    
    -Veux tu nous rejoindre? Demandais-je.
    
    -Oui, je veux vous rejoindre.
    
    -Tu sais ce que cela signifie?
    
    -Prenez ma bouche, mon sexe et mes fesses, que je sois une des femmes de cette maison.
    
    -Viens déjeuner.
    
    Elle s'attabla et picora quelques miettes. Elle avait peur.
    
    Je m'installais dans mon fauteuil. Je lui fis signe d'approcher. Elle sortit mon sexe du jogging que je portais et y mit les lèvres. Elle embrassa le gland puis emboucha l'ensemble. Elle fut secouée d'un haut le coeur. Je lui caressais la tête, alors qu'elle reprenait sa respiration. Elle reprit sa fellation, hésitante. Je me levais et lui bloquais la tête des deux mains. Je commençais à aller et venir, sans trop m'enfoncer, elle ne mordait pas , mais sa ...
    ... bouche était inerte. Toutefois, grisé par le pouvoir, je vins dans sa bouche. Elle avala tout. Je la relevais ,et d'un baiser, aspirait une de ses larmes. Je la gardais près de moi, sur le vaste accoudoir du fauteuil. Je la caressais longtemps, sans passer la main dans son string. Puis je m'installais dans mon fauteuil.
    
    -Aujourd'hui, c'est ta journée. Tu es dispensée de travail. Dis-je.
    
    Les femmes et les hommes partirent vers les tâches que je leur avais assignées. Je restais dans la pièce, et montais sur mon ordinateur portable la séquence que nous venions de vivre. Sara ouvrit de grands yeux en se regardant la bouche ouverte par mon sexe sur le petit écran.
    
    -J'étais bien? Demanda -t'elle
    
    Je souris. Elle avait encore beaucoup à apprendre pour arriver au niveau de Christelle et Magalie, mais sa bonne volonté était manifeste.
    
    -Tu te débrouilles bien. La rassurais-je.
    
    La table du midi desservie , je la fis s'allonger sur la nappe. Relevais la robe, et lui tirais son string. Sa fente, apparut , luisante, sous un petit buisson. Elle s'était épilé le sexe. Je caressais le mont de Vénus bombé de la jeune fille. Du pouce, je flattais le tendre clitoris, qui se dressa ,sortant de sa petite peau. Elle haletait doucement sous la caresse , puis se tendit, secouée de plaisir. Je me plaçais entre ses jambes écartées, et entrais jusqu'à sentir une résistance. Je la regardais dans les yeux et d'une seule poussée, l'arrachais à l'enfance. Elle eut un gémissement de douleur, ...
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