Photos de famille (2)
Datte: 24/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... son frère et s’imaginait posant pour lui lors de séances similaires. Elle reposa la tasse de thé sur la table de chevet puis s’allongea sur le lit, les jambes écartées, les genoux relevés. Elle ferma les yeux, glissa une main entre ses cuisses. Un doigt courait le long de cette fente, remontant le sillon magnifique, et la pulpe termina sur ce petit relief qui déjà durcissait. La pression encore légère et le frottement du majeur presque imperceptible enclenchait déjà une spirale de plaisir que Sabrina devinait difficilement contrôlable. Elle ressentit comme un souffle sur sa vulve. Elle ouvrit les yeux. Non, bien sûr, il n’y avait personne : juste un tour que lui jouait son esprit. Anton ne pouvait être ici.
Voilà qu’elle fantasmait sur son grand frère. Elle se doutait bien que l’idée avait quelque chose de malsain, et pourtant… Était-ce la découverte de sa relation qui attisait cette envie ? Entendait-elle, inconsciemment, remettre Anton sur le droit chemin ? Elle n’était pas le moins du monde choquée que son frère batifole avec une belle ladyboy thaï ; il n’y avait donc pas de bon ou de mauvais chemin. Sauf… sauf à considérer qu’il était le seul à même de transmettre le nom de famille. Certes, elle ou sa sœur pouvait rechercher un géniteur qu’elle renverrait une fois sa mission réussie, élever seule l’enfant qui ainsi garderait le nom de sa mère. Mais il était tout de même plus simple que ce soit Anton qui perpétue la lignée des Lynné.
Elle évacua ces pensées de ...
... son esprit et se concentra sur son plaisir. Le majeur se faufila avec une lenteur volontaire dans ce coin de paradis tandis que l’éminence thénar venait cajoler son grain de café rose. Elle se rappellerait toujours du nom de cette partie de la main : elle avait fait une chute à vélo et s’était ouvert cette partie de la paume située à la base du pouce. A cette époque-là elle lisait « Les misérables », et elle s’était interrogée sur un éventuel lien entre la famille Thénardier et cette éminence de la paume. Elle fut presque déçue quelques années plus tard, lorsqu’elle apprit qu’il n’y en avait aucun, mais elle avait fait une découverte qui la rendait toujours joyeuse quand elle y pensait.
Alors qu’elle préparait son rôle de diseuse de bonne aventure dans le spectacle que la troupe de théâtre de l’école jouait en fin d’année, Sabrina avait fait des recherches sur la chiromancie. Elle était comme ça : elle ne faisait pas de brillantes études mais elle était curieuse de tout, et donc, comme elle devrait lire les lignes de la main, elle s’intéressa à cet « art ». Non pas pour prétendre être capable de divination, mais pour être simplement crédible. Sabrina acheta un livre afin de connaître le vocabulaire, les mots employés, le nom des différentes lignes, mais aussi de ces zones appelées « monts ». Ainsi, elle apprit que cette fameuse partie de la main qu’elle avait cru bon de marquer d’une cicatrice, d’une ligne jusque-là inexistante, se nommait « mont de Vénus ». Depuis, elle ...