1. Photos de famille (2)


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    ... fur et à mesure que la séance se déroulait. Les photos devenaient de plus en plus intimes. Prise dans la rapidité de son geste, Sabrina fit passer encore deux clichés.
    
    Stupéfaction ! Elle passa une main devant sa bouche comme pour masquer qu’elle l’avait grande ouverte. Elle n’était pas réellement choquée, juste étonnée. Très étonnée. La jeune femme était totalement alanguie sur le lit, entièrement nue. Un drap s’enroulait autour d’une jambe, passait sous son bassin, s’enroulait à nouveau autour de son torse. Comme une liane autour d’un arbre, comme une guirlande autour d’un sapin. Le drap ne masquait rien, ce n’était pas sa fonction ; il magnifiait le corps en servant de cadre à ses menus seins bien ronds et fermes. De la même manière, il dévoilait une petite verge qui n’avait rien d’un organe masculin. Ce garçon, cet ancien garçon… non, cette fille était vraiment magnifique.
    
    Sabrina fit défiler les photos en arrière et revenir où le diaporama en était resté pour ne pas éveiller les soupçons de son frère, ne pas révéler qu’elle l’avait trahi en fouillant dans son ordinateur. Elle rabattit l’écran et redescendit. Le thé allait être sacrément dosé ! Elle y versa un nuage de lait, s’assit, ferma les yeux et but une première goulée.
    
    Bizarrement, elle avait chaud dans le ventre, mais cela ne venait pas du thé. Quelque chose la démangeait, et c’était bien plus bas que son estomac. Les photos l’avaient sérieusement émoustillée. Par leur contenu d’abord, mais aussi par le ...
    ... fait de découvrir que son frère pouvait prendre de magnifiques images érotiques.
    
    Si elle restait dans la cuisine, elle allait croiser son frère qui se dirigerait vers sa chambre. Elle n’en avait pas envie. Non pas qu’elle fût gênée du fait que son frère était un merveilleux photographe d’œuvres érotiques, mais elle avait besoin de digérer la découverte, de laisser passer ces sensations dans son bas-ventre.
    
    Elle prit sa tasse à moitié pleine et se dirigea vers sa chambre. Rachel était dans le salon au rez-de-chaussée ; elles se souhaitèrent une bonne nuit, mais Sabrina savait qu’elle ne pourrait pas s’endormir aussitôt.
    
    Elle enfila un vieux débardeur que son frère ne portait plus depuis des années. La différence de carrure le rendait très confortable, elle nageait dedans ; et puis lorsqu’Anton s’absentait longtemps, c’était un moyen de garder le contact. L’échancrure était si large qu’on apercevait facilement la naissance du galbe du sein. Sa mère râlait régulièrement lorsque qu’elle traînait ainsi vêtue dans la maison. Pas que sa mère fût prude, mais parce qu’elle trouvait cette rondeur à peine cachée très excitante et que son veuvage ne lui laissait pas toujours la possibilité d’assouvir ses envies. Mais après tout, elle n’avait qu’à s’en prendre à elle-même : c’était bien Rachel qui ne voulait pas se remettre avec quelqu’un.
    
    Sabrina était assise sur son lit, la tête posée sur ses genoux, le regard perdu dans le vague. Elle songeait bien évidemment aux photos de ...
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