1. Histoire banale (pas trop !) de plombier


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Sherab, Source: Hds

    ... Marennes-Oléron laiteuse, celle du mois d’août, celle que je préfère. Je suis surpris par la température de la rasade que j’aurais imaginé tiédasse. Là, elle était chaude et je fais ma grande en n’en laissant pas tomber une seule goutte sur le tapis, j’avale tout.
    
    Me relevant, je regarde Sylvain dans les yeux, inquiet de savoir si j’ai réussi mon « oral ». Il m’étonne de nouveau en me rendant la pelle gourmande de tout à l’heure et semble bien se régaler des restes des saveurs de sa jouissance en faisant tourner sa langue dans ma bouche. Il a compris mes attentes et de fait, valide mon passage en grande section. Ma main qui traîne entre nous repère le membre qui n’a même pas débandé et le sollicite de nouveau en le malaxant sans ménagement. Ma fébrilité me rend nerveux et j’en suis à vouloir l’arracher pour me l’enquiller dans le fion sans attendre. Je sors du tiroir derrière Sylvain un tube de gel opportunément bien rangé. Je l’ouvre, en fait couler au creux de ma main et continue d’astiquer mon baudet en le lubrifiant bien.
    
    - Pas de préservatif, Sylvain, à la hussarde s’il te plaît, je veux te sentir, le supplie-je.
    
    Je me mets face au miroir, les avant-bras sur le meuble de bain, placé derrière moi Sylvain s’est emparé du tube de lubrifiant et en bon connaisseur m’en garnit la raie, en m’incitant à écarter un peu plus les jambes. Il passe d’abord sans s’arrêter de haut en bas et ensuite, il revient sur ma rosette de puceau.
    
    - Détendez-vous, c’est fait pour ...
    ... passer, il n’y a rien à craindre ; C’est la détente qui fait le plaisir, conseille-t-il très serein.
    
    Son doigt s’attarde en cercles concentriques et assez rapidement, il tente de forcer l’entrée. Pour ne pas avoir l’air trop con, je ne résiste pas, bien au contraire, je pousse un peu comme pour chier et son doigt me pénètre. Un majeur de travailleur manuel, ça occupe un peu de place et la sensation de me faire enculer n’est pas loin, enfin, c’est encore ce que je crois. Il fait coulisser son ersatz de pénis jusqu’à détendre complétement mes sphincters. Ça, c’est de la préparation !
    
    Notre installation dans la salle d’eau fait que je vis la situation comme acteur et comme spectateur. Satisfait de ses préparatifs, Sylvain se relève, donne quelques coups de poignets pour raffermir son membre et le pointe sur ma corolle. Avant d’aller plus loin, il modifie légèrement la position de son bassin pour assurer un angle d’estocade sans désagrément. Et il pousse lentement.
    
    Et il pousse lentement. J’appuie mon front sur mes avant-bras, offre ma croupe comme une bonne salope. Il pousse encore, revient un peu en arrière, charge de nouveau. La première porte n’est pas la plus docile, elle me fait un peu souffrir. Quand je le sens gagner la porte secondaire, proche de la prostate, une douce chaleur m’envahit. Je tente de me branler, mais je ne bande pas du tout. L’appréhension sans doute. Je sens ses couilles chaudes toucher mes fesses, nous sommes au fond et c’est bon. Le plus savoureux ...