1. Histoire banale (pas trop !) de plombier


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Sherab, Source: Hds

    ... serre encore un peu plus fort. Le nez à quelques centimètres de cette verge appétissante, j’en prends aussi plein les narines. Ça sent l’homme, ça sent fort. Pas le manque d’hygiène, ah non, juste l’odeur du mâle en bonne santé. Son prépuce, un peu large couvre le gland malgré son érection. Une goutte perle au bord de la lèvre et en tirant un peu plus ses couilles en arrière, je vois apparaître ce champignon tant espéré. Je passe ma langue dans le fourreau et la fais tourner autour de la tête de cette quille magique. C’est salé.
    
    J’empoigne le corps de la verge et constate qu’elle n’est pas très différente en taille de celle que je branle au quotidien les semaines de disette. Elle est chaude sous ma main et très douce. Ce toucher n’est comparable en aucune manière avec une des parties du corps de la femme. Toucher une bite est inégalable. Sans précipitation, je repousse la gaine vers le pubis et découvre complètement l’objet de ma concupiscence. Sylvain, je te veux dans ma bouche. J’approche mes lèvres en aspirant et gobe d’un coup cette fraise pourpre, je le tète comme un veau affamé se jette sur le pis de sa mère. J’allonge ma langue au plus loin sous sa bite et je tète. Ma main n’a pas lâché ses couilles de taureau. J’entreprends de les faire tourner au creux de ma paume qui, du coup est bien remplie. Parfois, je jongle du bout des doigts en les faisant sautiller.
    
    Et je tète. Et je bave. Ma main gauche commence un lent va et vient sur la gaine en harmonie avec ...
    ... mes coups de tête. De temps en temps, je bloque ma main serrée vers la base de cette pine et la mets en tension aussi fort que lorsque j’envoie un coup de reins final à ma femme, que ce soit dans sa chatte ou dans son cul d’ailleurs. Cette passe précède en général une longue éjaculation. Sylvain apprécie, je sens ses mollets fléchir un peu et son bassin forcer vers ma bouche, j’aime ça. Je dégage mes lèvres tout en les laissant en contact avec le gland et j’accélère légèrement les mouvements de mon poignet. En branlette, je ne suis pas un débutant, ce qui est bon pour moi devrait satisfaire Sylvain. Le souffle du plombier s’accélère, il glisse sa main derrière ma tête et m’enfonce son pieu jusqu’à la glotte en agitant son bassin comme un forcené. Pour ne pas avoir l’air ridicule, je couine de plaisir alors que, honnêtement, je suis en train d’asphyxier. Il tape, il tape et tape encore quand je sens vite gonfler le pilon, remonter ses couilles dans ma main et la giclée couler dans le canal avant de m’arriver sur les amygdales. Putain il envoie la purée. Une giclée, puis deux, puis trois d’une force égale pour enfin ne produire que des soubresauts suivis de quelques gouttes de semence.
    
    Après tout ce que j’ai entendu sur le goût du sperme, je m’attends à avoir un haut-le-cœur, voire à gerber aussitôt. Pas du tout. Je trouve dans le goût de sa sève les saveurs d’amertume qui flattent en général mes papilles. Le côté visqueux, la texture épaisse et salée tire plutôt sur la ...