1. Laurie (1)


    Datte: 23/11/2018, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Auteur: tamilboy69, Source: xHamster

    ... que je voudrais que cela dure, dure le plus longtemps possible. Je ne suis plus qu’un immense frisson de la tête aux pieds, qu’un corps électrisé qui ne peut plus rien faire d’autre que partir pour un voyage dans une mer sans fond, un océan de plaisir qui me submerge. Je suis repue de plaisir, ils sont encore en train de s’embrasser et je suis toujours entre les deux. Je me love contre ces deux amoureux nus, je me frotte contre eux. La recherche d’un autre câlin se fait pressante, je veux, j’exige qu’ils me fassent encore jouir.
    
    Ils rient de concert en me touchant partout, ils s’en donnent à cœur joie et j’aime cela. C’est la première fois de ma vie que je fais l’amour ainsi, avec un couple et je ne suis pas déçue. Je réclame encore et encore qu’ils me fassent ces choses que d’ordinaire je rechigne toujours à réaliser. C’est moi qui vais au-devant de cette fente, de cette féminité qui m’attire, je n’aurais jamais cru que je pourrais avoir des attirances pour un autre sexe qui ressemble au mien.
    
    Je débute un cunnilingus à Claude qui m’appuie sur la tête pour me faire savoir qu’elle aime cela et ses soupirs emplissent la chambre. Alors elle s’étend sur moi et elle aussi me lèche la chatte. Merveilleux soixante-neuf, que celui qui redonne une nouvelle vigueur à la queue de l’homme qui nous regarde faire. Et comme je suis sous Claude, qu’il a changé de position, je ne le vois plus. Mais je sens qu’il entre en moi alors que la langue de son épouse continue de me butiner ...
    ... l’abricot.
    
    Il s’enfonce d’un coup sec, jusqu’à la garde, et j’apprécie la plénitude d’être remplie et léchée en même temps.
    
    Comme je suis bien, je sens soudain que c’est moi qui me décharge de mon envie en petits jets qui doivent éclabousser le visage d’une Claude haletante, d’une Claude surexcitée. Le ramonage de ma cheminée n’en finit pas de m’embarquer vers un pays rose, vers des cieux d’une couleur indescriptible, vers un naufrage de tout mon être, une noyade que je désire plus que tout au monde. Le temps semble n’avoir plus aucune prise sur le trio que nous formons.
    
    Elle et moi, à tour de rôle nous sommes servies par cette belle bite qui nous laboure le ventre, qui nous enfile de si belle manière. Comment peut-il résister autant aux deux furies que nous sommes, affamées de cette queue que nous partageons sans nous entredéchirer ? Quand elle pousse des cris qui me confirment bien qu’elle aussi prend du plaisir avec cette chose qui sous mes yeux entre et sort d’elle. Je suis presque jalouse que ce ne soit pas moi qui l’aie dans le ventre. La voilà repue de ce sexe qui ne veut plus se vider.
    
    C’est à mon tour de l’accepter encore en moi. Ils m’ont fait mettre à genoux, et Michel est derrière moi. Je me prépare à ses assauts quand je sens que le chemin emprunté par le dard est différent.
    
    Je me trémousse pour essayer de le dévier de sa trajectoire, mais c’est elle qui le maintient dans la direction optionnelle qu’il a prise. Et je frissonne de le sentir flirter ...
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