Laurie (1)
Datte: 23/11/2018,
Catégories:
Hardcore,
Inceste / Tabou
Auteur: tamilboy69, Source: xHamster
... deux temps et trois mouvements, les trois moules à tarte sont prêts, la pâte étalée, puis parsemée avec des lardons fumés grillés, du jambon et la mixture à base d’œufs battus est coulée sur l’ensemble. Elle parsème de-ci de-là, sur le dessus du gruyère qu’elle vient de râper et hop-là, voici ses chefs d’œuvre mis au four préalablement préchauffé. Elle sort d’un placard le grill pour les tournedos, puis dans un saladier, elle confectionne une belle salade de pissenlits, assaisonnée comme on dit dans les Vosges, « à la chaude meurotte ».
J’en ai déjà l’eau à la bouche et je suis presque impatiente que Michel rentre pour diner. Ensuite, elle termine par sa préparation de mousse au chocolat maison. Elle et moi remettons en état la cuisine, et elle me passe ses doigts pleins de farine sur le bout du nez, en s’esclaffant de sa bonne blague.
— Voilà, je vais prendre une douche alors surveille la cuisson de nos entrées.
Elle me quitte, se dirige vers la salle de bain et j’entends bientôt l’eau qui coule. Michel vient de renter et nous avons Claude et moi, dressée la table. Tout au long du repas mon oncle s’enquiert de ma santé, de celle de maman, il me pose mille questions sur ma vie maintenant, s’intéressant à tout ce qui me touche, de près ou de loin. Il est bien tard quand je me sens une envie de dormir irrépressible. Je les embrasse tous les deux et me rends dans la belle chambre spacieuse où je dors toujours, à chacune de mes visites.
J’ai un petit cabinet de ...
... toilette et je me rafraîchis enfin avant d’enfiler une jolie nuisette, puis je me glisse dans des draps mauves, en soie. C’est doux et j’adore cette matière qui glisse sur la peau.
Je plonge presque de suite dans le sommeil, repue de fatigue. La route et le bon air des Vosges ont eu raison de moi. Du fond de ce sommeil qui me prend, il me semble entendre des rires. J’ai dormi, mais combien de temps et mon oreille est aux aguets. Elle écoute les bruits de cette maison de bois qui respire de partout, qui craque aussi parfois dans la nuit, comme pour dire qu’elle aussi est vivante. J’ai aussi la sensation que l’odeur du pin ressort beaucoup plus dans le noir de la nuit vosgienne.
Venue d’une autre chambre, j’entends des chuchotements, de petits rires, comme des gloussements. Subjuguée par ces bruits insolites, je retiens ma respiration, comme si le fait de l’arrêter allait amplifier ces sons dont j’ignore la provenance. Plus j’écoute et plus je sais de quoi il s’agit, je suis sûre que Claude et Michel font l’amour, et je suis tendue comme un arc par ces soupirs qui finissent par me communiquer une vraie envie de sexe.
Ma tante geint doucement, et Michel soupire fort, me donnant une barre au fond des reins. Ma main part à la conquête de mon entrecuisse, soulevant de ses doigts agités ma petite culotte. Je commence à caresser doucement de bas en haut ma fente qui s’humidifie, guettant les petits cris de ma tante qui subit sans doute les assauts de son mari. Comme j’aimerais moi ...