L'oeuf de Colombe
Datte: 23/11/2018,
Catégories:
fh,
couple,
hotel,
caférestau,
amour,
Auteur: Freddysirocco, Source: Revebebe
... tortille jusqu’au milieu de la couche où je la rejoins aussitôt. Je la couvre de baisers, en m’attardant particulièrement dans les creux de son cou, de sa poitrine, de ses hanches, de son pubis. Elle se débat un peu, aimerait bien que je cesse d’éviter les parties les plus érogènes de son anatomie, mais c’est ma façon de faire monter le désir d’un cran supplémentaire.
Finalement elle me renverse, saisit mon sexe à pleine main et l’enfourche sans ménagement. Elle m’entraîne au plus profond d’elle-même, conforte son assise, se repaît d’être enfin remplie. Elle a jeté sa tête en arrière et j’admire un instant son abondante chevelure brune et ses seins majestueux. Je ne peux m’empêcher de les recouvrir de mes mains. Juste à la bonne taille !
Cette caresse délicate lui rappelle que je suis là, que je ne suis pas qu’une queue fièrement dressée. Elle pose ses mains de chaque côté de ma tête et, me défiant du regard, commence tout doucement à se déhancher. Je lui pince les tétons ce qui lui extirpe un petit cri. En réponse, elle commence à coulisser le long de mon sexe. Je la sens qui dégouline. Elle accélère. Encore. Elle se fait presque violente, assenant les coups de reins fébrilement jusqu’à me faire mal. Délicieusement mal. Je sens maintenant la sève qui monte. Pas déjà !
Réagissant juste à temps, je la soulève et la retourne. La voilà ma merci, les poignets coincés sous mes mains, la pression de mon bassin sur le sien l’empêchant de remuer. Elle essaie tout de ...
... même.
— À moi de jouer un peu à présent !
— Comment ?
— Vous me promettez de ne pas bouger, Mademoiselle ?
— Madame ! J’y tiens !
— Très bien… Vous me promettez de ne pas bouger, Madame ?
— Mmm… Ça dépend…
— Promettez !
— OK, je promets.
Je desserre mon étreinte. Je recommence mon petit jeu de tout à l’heure. Cou, poitrine, hanches, pubis. Je remonte. Cette fois mes lèvres effleurent son nombril. Son ventre est tendre et musclé à la fois, je l’explore longuement. Puis ses seins, dans lesquels cette fois je me perds franchement. Je titille ses tétons, le gauche, puis le droit, pas de jaloux ! Elle gémit doucement. Je descends à nouveau. Son ventre, sa taille, la courbe de ses fesses, que je remonte jusqu’à son pubis. Elle implore.
— Plus bas !
Je dépose un baiser sur l’aine puis je découvre ses cuisses, charnues mais fermes. Je souffle dans le creux de son genou. Elle relève complètement les jambes, comme une invitation. Ne résistant plus, je plonge soudain entre les lèvres béantes de son sexe. Je la dévore et je la bois, ma langue remonte jusqu’à son clitoris avec lequel je fais connaissance en douceur. Il est incroyablement bandé et très sensible. Je continue à l’agacer gentiment tandis que deux de mes doigts s’immiscent dans la chaleur humide de son con. Ils gagnent sans peine la paroi interne du pubis qu’ils caressent doucement, tout en exerçant une pression de plus en plus forte. Mon mouvement circulaire ne tarde pas à provoquer des soubresauts chez ma ...