1. Petites poésies au clair de lune


    Datte: 23/11/2018, Catégories: poésie, Auteur: Claude Cotard, Source: Revebebe

    Elle ouvre les yeux, se réveille langoureusement.
    
    Son regard se tourne vers l’homme, amoureusement.
    
    Sur le ventre, il dort. Sa respiration est lente,
    
    Ses épaules nues, offertes, musclées, troublantes.
    
    Elle soulève le drap et découvre sa chute de reins.
    
    Sa peau a une apparence satinée, attirant sa main.
    
    Elle ne résiste pas, et le drap choit sur le sol ;
    
    Deux fesses ouateuses se découvrent, ça l’affole,
    
    Sa main ne peut résister à ces formes attirantes,
    
    Ces formes offertes à son regard et si tentantes
    
    Et, tel un papillon, sa main se pose délicatement.
    
    Elle se pose sur ces globes de chairs, lentement.
    
    Elle le sent frémir, elle adore cette sensation,
    
    Cette zone, si sensible chez lui, est une passion
    
    Et elle ne s’en lasse jamais de le faire frémir
    
    En le caressant, de lui donner un tel de plaisir
    
    Des épaules à cette zone, si érogène, le caressent.
    
    Aphrodite sait qu’il ne dort plus, mais paresse
    
    Et elle imagine sa colonne de chair se dressant.
    
    Il gémit, s’offre à sa main, soumis et obéissant.
    
    Elle devine la colonne dressée, ressent l’envie,
    
    Son antre brûlant et humide déjà appelle sa vie,
    
    Son ventre à elle est en effusion et le réclame.
    
    Elle le retourne et est envahie par une flamme
    
    Et elle enfourche cette colonne de chair dressée
    
    À son tour elle gémit, sentant le plaisir s’élever.
    
    Les va-et-vient, elle les dirige à un rythme lent ;
    
    Ses mains caressent ses seins, affolant ses sens.
    
    Le plaisir est ...
    ... dans son ventre, brûlant, excitant,
    
    Ils montent en même temps que le sien, elle le sent.
    
    Alors, elle explose et sent qu’il a fait de même.
    
    Repue, à ses côtés, s’étend, sûre qu’elle l’aime.
    
    Ma main dans tes cheveux descend sur ta nuque. Tu frissonnes.
    
    En plus d’être bonne mère, bonne épouse, serais-tu polissonne ?
    
    Tu joues ton regard malicieux, ton petit sourire me met en émoi,
    
    Nos mains se frôlent, dessinent des caresses de satin, de soie.
    
    Je regarde ton corps bouger, tes formes attirantes, tes hanches.
    
    Une chaleur s’empare de moi. Lentement, sur ta bouche, me penche
    
    Tes lèvres si fraîches et si gourmandes attisent le feu en moi,
    
    Ta peau de velours, si chaude, collée contre la mienne, me fait loi,
    
    Tes mains expertes se font inquisiteuses et ta langue fouineuse.
    
    Mon esprit s’égare et se trouble autant que mes mains amoureuses.
    
    Les vêtements tombent, les corps s’emmêlent, jouent sensuellement,
    
    Chaque millimètre de peau est frôlé, caressé, le tout tendrement.
    
    Nous jouons, explorons, goûtons ces plaisirs intenses et charnels
    
    Car sous mes gestes lents, indécents, libertins, tu es si belle,
    
    Et du creux de ta nuque au creux de tes reins, je n’aime que toi,
    
    De ton cou à tes seins, et toujours descendant, j’ai envie de toi.
    
    J’aime quand tu te transformes et deviens une divine allumeuse.
    
    Je frissonne quand tu la joues sensualité débordante, charmeuse,
    
    Et quand tu fais de moi un objet et celui de ton plaisir même
    
    Alors je ...
«123»