1. COLLECTION LESBIENNES. L’institut de beauté (1/1)


    Datte: 22/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... possibles.
    
    J’ai de petits poils jusqu’à l’orée de mon anus, l’esthéticienne met des gants de protection et m’ayant placé sur le côté une jambe levée, je la vois prendre de la cire chaude et me badigeonner de mon petit trou jusqu’à ma fesse.
    
    Ce travail fait, elle prend une bande qu’elle place sur le côté préparer avant de tirer rapidement, j’ai mal, mais je résiste à la douleur prenant même un certain plaisir à ce travail sur la partie la plus secrète de mon corps invisible de moi.
    
    Elle fait l’autre côté me faisant remettre sur le dos, je vois qu’elle regarde mon excroissance vaginale quand elle me fait écarter les cuisses et commence par me raser avec des jetables, je choisis de garder un timbre-poste pour la grandeur et en forme de triangle.
    
    Aucune sensation pendant ce travail, mais dès qu’elle prend sa spatule pour étaler la cire, je sens bien qu’elle me touche le clito.
    
    Une fois, oui, deux fois pourquoi pas mais je comprends qu’elle le fait volontairement.
    
    Elle le fait exprès, le nombre de fois que cela se produit finit par le faire apprécier et que je sens de la liqueur couler de ma chatte.
    
    Adriana est assise dans un des fauteuils au coin de la pièce et vu qu’elle est plus basse ne peut voir ce qu’elle me fait quand prenant une petite serviette chaude elle me la passe carrément sur la chatte, c’est la première fois depuis mon doigt qu’un frisson me traverse tout le long du dos.
    
    Elle reprend son travail et en quelques minutes elle finit de ...
    ... m’épiler, elle change ses gants en mettant de plus fins avant de prendre de la crème et me masser doucement pour faire disparaître l’irritation.
    
    C’est bien mon clito qui l’inspire, car elle me regarde de ses grands yeux bleus, tourne la tête vers Adriana qui lit une revue féminine attendant son tour tranquillement et le caresse avec son pouce.
    
    J’ai un nouveau râle de plaisir que ma cousine entend, elle me dit qu’il faut savoir souffrir pour être belle et retourne à sa lecture sans comprendre que pour la première fois de ma vie, une femme me donne du plaisir.
    
    Hélas, la discrétion étant de règle, ma première expérience se termine ainsi et l’esthéticienne se doit de finir son travail ayant une chatte exactement comme nous avions souhaité qu’elle soit.
    
    Le passage sur la table d’Adriana est moins long, car le travail est soit moins important venant toutes les semaines où que la jolie blonde lui porte moins d’intérêt.
    
    J’aurais voulu retourner à un autre moment la rencontrer cette année-là, mais je n’ai trouvé aucun motif pour me libérer de ma cousine, elle part contre se sert de moi pour confondre grand-mère, le soir elle saute par la fenêtre étant au rez-de-chaussée pour aller retrouver son copain.
    
    C’est au bal du 14 Juillet qu’elle là trouvée perdant ce soir-là son pucelage, il avait un copain à qui je semblais plaire, mais chaque fois que je dansais des slows, je sentais qu’il avait un bâton qu’il m’était impossible de recevoir en moi.
    
    Après ces premières vacances ...