1. COLLECTION LESBIENNES. L’institut de beauté (1/1)


    Datte: 22/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Ma sexualité s’est dessinée dans mon adolescence quand un jour passant devant la chambre de papa et maman ayant besoin d’aller aux toilettes ce qui était très rare, j’ai entendu maman criée, j’ai eu peur qu’elle ne soit malade, j’ai ouvert doucement la porte et pendant une fraction de seconde j’ai vu que papa la frappait avec un long bâton.
    
    Plusieurs années après je devais apprendre par ma cousine avec qui j’ai découvert bien des choses que sa mère la sœur de maman lui avait parlé de cet épisode de sa vie ou maman avait accepté de se faire sodomiser pour la première fois par papa.
    
    Quand j’ai ouvert la porte, il venait de finir de la pénétrer d’où le bâton et maman était en pleurs car à part la douleur du début, le plaisir qu’elle avait ressenti l’avait fait tomber en larmes.
    
    Pour autant, à court terme avant d’apprendre ces détails, le mal était fait et je me suis bien juré qu’aucun bâton ne viendrait me frapper.
    
    Les choses ont été facile dans les temps qui ont suivi, car au bahut à la récré les filles restaient avec les filles pendant que les garçons jouaient au football comme des malades.
    
    Depuis quelque temps ma petite chatte changeait et me démangeait, une nuit je me suis réveillée comprenant que j’avais laissé entré un doigt à l’intérieur, L’excroissance qui se formait en haut de mon sexe bien plus développé que celui d’Adriana que je voyais pendant les vacances qu’en nous allions chez Mamy qui habitait à Grasse.
    
    Attention, c’est ma cousine et je ...
    ... voyais, comment elle était fichue, car nous couchions dans la chambre de nos mères du temps où elles aussi étaient adolescentes.
    
    Elle avait commencé son initiation à la vie naturelle pour la nourriture et l’hygiène de vie et couchant nue, hors règles qui nous étaient tombées dessus depuis quelques mois.
    
    C’est grâce à elle que j’ai progressé dans la connaissance de mon corps, car elle m’a dit que j’avais un clitoris surdimensionné à la limite d’être une petite bite.
    
    Quand elle dormait, elle prenait des postures indécentes écartant ses cuisses découvrant son abricot qui bizarrement au mien était toujours sans aucun poil.
    
    J’ai profité de ce qu'elle me parlait de mon clitoris qui pour elle était normal des filles en ayant des petits d’autres comme moi des gros pour lui demander pourquoi elle était sans poils, c’est ainsi que j’ai compris qu’elle se faisait épiler chaque semaine dans un institut.
    
    Il est vrai que certains matins même ici en vacances elle se rendait dans une rue de Grasse avec son Piaggio ou elle faisait entretenir sa foufoune comme elle disait en parlant de son sexe.
    
    Elle y allait le lendemain et m’a emmené, la jeune femme qui nous a reçus était une jolie blonde, j’ai eu un dernier scrupule, mais comme j’avais de l’argent de poche, je me retrouve sur la table de travail de la salle où elle opérait.
    
    Adriana se fait épiler à la cire, car à part le laser hors de prix c’est le système le plus efficace pour que les poils disparaissent le plus longtemps ...
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